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Revue de Presse Mars 2022

Monday, March 28, 2022 - 1:30pm

 

Shaping Europe digital future.
Forum International de la cyber sécurité.
7-9 juin 2022 LILLE
https://www.forum-fic.com/programme/https://www.forum-fic.com/programme/

HIMSS 2022 : les acteurs de santé tricolores se mettent en ordre de bataille pour Orlando.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1893

E-santé : un nouvel appel à projets "Structures 3.0" lancé d'ici "fin mars" (ANS).
https://www.ticsante.com/story/6090/e-sante-un-nouvel-appel-a-projets-structures-30-lance-d-ici-fin-mars-(ans).html

Les hôpitaux disposent de différents leviers pour recruter des ingénieurs en informatique (DGOS).
Les établissements de la fonction publique hospitalière (FPH), notamment les hôpitaux, peuvent mobiliser plusieurs leviers, notamment des primes, pour favoriser le recrutement d'ingénieurs contractuels en informatique, souligne la directrice générale de l'offre de soins (DGOS), Katia Julienne, dans une note d'information, publiée au Bulletin officiel protection sociale-solidarité du 15 février.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6091

Espace européen des données de santé : la proposition de règlement dévoilée "dans quelques semaines".
La Commission européenne devrait publier sa proposition de règlement sur l'Espace européen des données de santé (EEDS) "dans quelques jours ou quelques semaines", a annoncé Isabelle Zablit-Schmitz, directrice de projets Europe et international à la délégation ministérielle au numérique en santé (DNS) le 3 mars lors d'une rencontre organisée par la société Dr Data. L'EEDS est "le futur gros chantier" de la santé numérique en Europe, a-t-elle ajouté. Si le futur texte est aujourd'hui une "boîte noire" pour les Etats membres, son périmètre est "extrêmement large", puisqu'il "ne se limite pas à l'utilisation secondaire des données de santé, mais intègre aussi le parcours de soins". L'utilisation primaire des données, appelée EHDS-1 (European Health Data Space 1), a déjà débuté via le service Sesali, qui permet aux professionnels de santé d'accéder à la synthèse médicale de patients provenant d'autres pays membres de l'Union européenne (UE). A terme, l'EHDS-1 doit donner aux citoyens l'accès et le contrôle de leurs données de santé et de leurs échanges, expliquait-elle lors du Conseil du numérique en santé du 16 décembre 2021. L'EHDS-2 se concentre sur la recherche et le pilotage des politiques publiques. Attendu pour 2025, l'EEDS devrait faire l'objet de premiers travaux pendant la deuxième moitié de la présidence française du conseil de l'Union européenne (PFUE), en particulier autour des principes européens pour l'éthique du numérique en santé adoptés en février, a indiqué Isabelle Zablit-Schmitz. L'objectif étant qu'ils soient mis en œuvre "lors du passage de relais" de la présidence du conseil à la République Tchèque fin juin.
LÉO CARAVAGNA

La composition de la commission de référencement au catalogue de l'Espace numérique de santé détaillée dans un arrêté.
Placée auprès du ministre chargé de la santé, elle est présidée conjointement par le délégué ministériel au numérique en santé et le président de la Caisse nationale de l'assurance maladie (Cnam).
Les autres membres sont :
• Deux citoyens choisis parmi les participants au comité citoyen associé à la gouvernance du numérique en santé
• une personnalité qualifiée représentant les usagers du système de soins, désignée par l'Union nationale des associations agréées d'usagers du système de santé [France Assos Santé] pour représenter les intérêts des usagers du système de soins
• Une personnalité qualifiée choisie pour ses compétences en matière d'éthique du numérique ou de protection des données personnelles, désignée par la présidente de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)
• Une personnalité qualifiée exerçant une profession de santé, choisie pour sa connaissance de l'e-santé, désignée par le président du Collège de la médecine générale (CMG)
• Une personnalité qualifiée choisie pour ses compétences techniques dans le domaine du numérique, désignée par l'Agence du numérique en santé (ANS)
• Une personnalité qualifiée choisie pour ses compétences dans le développement économique des entreprises du secteur numérique, désignée par le secrétariat général pour l'investissement (SGPI), qui dépend de Matignon.
Ces membres sont nommés par arrêté du ministre de la santé pour un an renouvelable.
Tous les membres de la commission sont tenus d'établir une déclaration d'intérêts qu'ils devront remettre au ministre.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6085

Numérique en santé : lancement de l'appel à projets "tiers lieux d'expérimentation" doté de 63 millions d'euros.
Cet appel à projets doit permettre de "faire émerger des tiers lieux d'expérimentation pour le numérique dans les organisations de soins" avec 30 structures retenues comme "terrain d'expérimentation". Il poursuit l'objectif de 100 solutions expérimentées d'ici 2025 et "sera doté de 63 millions d'euros sur quatre ans", a fait savoir David Sainati le 24 février.
Il vise à "créer un maillage pérenne de structures d'expérimentation (appelés tiers lieux) dans le secteur de la santé; tester l'usage de nouveaux services numérique en santé en vie réelle et bénéficier du retour d'expérience des utilisateurs (impact, acceptabilité, ergonomie, etc.); mesurer les bénéfices médico-économiques des solutions testées; accompagner le déploiement et l'accès au marché des solutions ayant fait la preuve de leur impact et associer les professionnels et personnes concernées dans la coconception des solutions", est-il détaillé sur le site de l'appel à projets.
L'appel à projets est ouvert jusqu'au 25 mai 2022 à midi et s'adresse aux structures de santé, sanitaires ou médico-sociales, publiques ou privées, en ville ou en établissement.
Pour postuler et espérer bénéficier des subventions prévues, les structures "doivent avoir une taille suffisante pour pouvoir participer au déploiement de la solution testée", est-il précisé.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6083

"Percée" du numérique dans la filière française des dispositifs médicaux (Snitem).
Il a jugé que les entreprises pouvaient s'appuyer sur l'Agence du numérique en santé (ANS) "qui fait un très bon boulot", mais qu'elles pâtissaient toujours d'un manque de modèle économique.
"La Haute autorité de santé [HAS] n'est pas forcément encore hyper claire sur l'évaluation médico-économique de ces solutions et, du coup, les entreprises, qui investissent néanmoins car il y en a besoin, ont du mal à trouver leur modèle économique", a confirmé Dominique Carlac'h.
Selon l'étude menée par D&Consultants, huit entreprises du secteur sur 10 ont fait état d'un "manque de compréhension des attentes/preuves à apporter pour l'évaluation des dispositifs par la HAS". Néanmoins, 90% des répondants ont estimé que la réglementation dans le domaine du numérique était "identifiable et lisible", et 68% ont jugé les organismes notifiés (ON) compétents sur ce segment. L'intégration du numérique dans des produits existants a aussi contribué ces deux dernières années à la dynamique de la R&D dans la filière DM, avec une part du chiffre d'affaires consacré à la R&D de 7% en 2021 (versus 6% en 2019).
Le syndicat a aussi partagé des tensions en matière de recrutement dans les entreprises françaises, notamment sur des profils réglementaire/qualité, accès au marché et scientifique dans le domaine du numérique et de l'électronique.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1877

Les HCL, l'Inria et l'université Claude-Bernard de Lyon lancent un pôle de développement en IA dans la santé.
L'un des projets du partenariat avec l'Inria vise notamment au développement d'un "moteur de recherche pour la santé", capable de répondre à des requêtes en langage médical par l'analyse de données de nature et de structure variées (images, comptes rendus opératoires, dossiers patient, articles scientifiques, etc.). Il s'agira d'aboutir à la création de véritables outils d'aide au diagnostic et à la décision, qui devraient faciliter la pratique des médecins et améliorer la prise en charge des patients.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6072

Le think tank Healthcare Data Institute (HDI) a annoncé le 11 février le lancement du groupe de travail "générations et exploitation des données hospitalières à visée de recherche en santé́ publique et en épidémiologie". Piloté par Rémy Choquet, directeur du centre de données médicales de Roche, et Mathieu Robain, directeur "données médicales" d'Unicancer, il devra "schématiser la chaine de valeur de la donnée hospitalière et identifier les leviers de réussite pour l'utilisation de leurs données à des fins de recherche en épidémiologie, en pharmaco-épidémiologie et santé publique".

Informatique de santé : la France adopte la terminologie Snomed CT (DNS).
La terminologie Snomed CT "est déjà utilisée dans 19 pays sur 27", a-t-elle précisé.
Dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne (PFUE), des travaux sont prévus pour l'intégrer à des standards européens d'interopérabilité. Elle est déjà utilisée par le Digital Covid Certificate (DCC), la norme européenne de passes sanitaires.
Cette stratégie a deux objectifs : mettre en place un cadre éthique pour les services numériques en santé publics ou privés, et développer les usages en construisant un marché unique européen. Le deuxième axe passe par l'harmonisation progressive des normes d'interopérabilité, via l'adoption de la Snomed CT, et l'harmonisation progressive de l'accès au marché.

HIMSS 2022 : le ministère promeut l'éthique du numérique en santé à Orlando.
Invitées à s'exprimer au congrès HIMSS (Healthcare Information and Management Systems Society) à Orlando, Isabelle Zablit-Schmitz, directrice de projet Europe et international de la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS), et Brigitte Séroussi, responsable de la cellule éthique du numérique en santé à la DNS ont présenté le cadre éthique du numérique en santé et promu un modèle européen qui inspire de plus en plus les États-Unis.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1900

AI is helping treat healthcare as if it’s a supply chain problem.
Les industriels de la santé se tournent vers les logiciels de chaîne d'approvisionnement pour aider les patients à avoir un meilleur accès aux traitements et aux tests.
https://www.technologyreview.com/2022/03/09/1046976/ai-is-helping-treat-healthcare-as-if-its-a-supply-chain-problem/

HIMSS 2022 : comment Philips veut bâtir des ponts entre l'informatique et la santé.
Engagé dans un virage en santé depuis six ans, Philips veut asseoir sa présence dans le secteur en s'appuyant sur son maillage territorial, ses partenaires et son savoir-faire technologique, a expliqué Pascal Dussert, directeur de l'activité santé connectée et des partenariats stratégiques, à TICsanté le 16 mars au congrès de la HIMSS (Healthcare Information and Management Systems Society).
https://www.ticsante.com/story.php?story=6111

Les GIP CPage et Okantis vont commercialiser leurs produits respectifs.
Les groupements d'intérêt public (GIP) d'informatique hospitalière CPage et Okantis (ex-SILPC) vont chacun commercialiser les produits de l'autre, ont-ils fait savoir par communiqué le 17 mars.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6110

La conférence des DG de CHU et France Biotech vont coordonner leurs actions de recherche et d'innovation.
"Ce partenariat procède d'une dynamique générale avec l'accélération des partenariats entre les CHU et les entreprises, et la création de futurs tiers-lieux d'expérimentation" pour lesquels un appel à projets a été lancé fin février. Il "matérialise des travaux commencés en amont" entre la conférence et l'association, a indiqué Franck Mouthon, notamment autour des usages du numérique en santé, pour lesquels les entreprises ne peuvent se passer des établissements de santé."Il y a une convergence entre les entreprises et les CHU. Nous professionnalisons nos relations, par exemple avec des contrats types, pour avoir des outils harmonisés sur tout le territoire, et une cartographie de l'expertise qui existe dans nos CHU pour accélérer les mises en relation", a déclaré Florence Favrel-Feuillade.
Les stratégies santé numérique et maladies émergentes doivent "répondre à la fois aux besoins des patients et du système de santé", les entreprises ont donc besoin des établissements "qui sont à la fois des centres d'innovation et des acheteurs de solutions numériques".
Les deux partenaires prévoient également de travailler sur "les conditions d'accès aux cohortes et aux données de santé, l'accès précoce en matière de médicaments et dispositifs innovants, les structures d'accompagnement des innovations au sein des CHU, et les achats hospitaliers d'innovation", ont-ils fait savoir dans leur communiqué
https://www.ticsante.com/story.php?story=6112

Softway Medical "référencé HIMSS" pour accompagner les établissements dans leur transformation numérique.
L'éditeur Softway Medical a annoncé le 16 mars à Orlando son référencement EMRAM (Electronic Medical Record Adoption Model), un indicateur de performance délivré par la société à but non lucratif HIMSS (Healthcare Information and Management Systems Society), organisatrice du congrès.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6113

Crise Covid, VAC-SI et passe sanitaire : le rôle central et persistant du cabinet Accenture (commission d'enquête).
Rapport de la commission d'enquête sur l'influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur un phénomène tentaculaire: l'influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques

La filière du numérique en santé mentale se structure.
Sept entreprises françaises ont créé MentalTech, le "premier collectif dédié à l'émergence de solutions numériques en santé mentale", ont-elles annoncé le 17 mars. Les fondateurs sont la société de télémédecine Qare, le spécialiste de l'hypnose médicale par réalité virtuelle HypnoVR, l'application ludique pour le sevrage tabagique Kwit, l'application d'aide au diagnostic et au suivi du stress post-traumatique Resileyes, le créateur d'escape games de prévention Tricky, l'application de méditation Petit Bambou et le spécialiste de la santé mentale en entreprise Mindday. Le Dr Fanny Jacq, psychiatre, directrice de la santé mentale chez Qare et créatrice de l'application de "soutien psychologique" Mon Sherpa, préside le collectif jusqu'en juin, ont-ils indiqué. Le but de MentalTech est de "rassembler organismes privés et publics" pour "répondre à l'urgence de déployer des outils numériques éthiques dans la prévention et la prise en charge de la santé psychique, aux côtés des soignants". Les partenaires se sont donné trois objectifs : "ouvrir le débat public", "démocratiser les usages", et "renforcer la contribution économique de la filière". Selon une étude réalisée pour le collectif par l'Institut Sapiens, la e-santé mentale permettrait d'économiser 5,9 milliards d'euros annuels pour le système de santé. "Le débat devrait aujourd'hui seulement concerner les modalités de déploiement de ces solutions", déclarent-ils, oubliant comme souvent que les technologies ne sont jamais neutres.
LÉO CARAVAGNA

Les soins virtuels, l'imagerie avancée et la voix, grandes tendances du congrès HIMSS.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1906

Santé numérique : PariSanté Campus dévoile sa première promotion de 60 start-up.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1901

Revue de presse 2022

Monday, February 7, 2022 - 1:15pm

 

La procédure de référencement au catalogue de "Mon espace santé" est ouverte.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5992

CES 2022 : Withings présente sa station de santé connectée Body Scan.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6002

Mesure de constantes par caméra, maintien à domicile et chirurgie augmentée : les grandes tendances françaises au CES 2022.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1829

CES 2022 : Intertio part à la recherche d'expérience internationale.
Intertio développe une plateforme vidéo de promotion des médicaments, dispositifs médicaux et solutions numériques auprès des médecins et pharmaciens.
La jeune pousse revendique "une dizaine" de laboratoires clients, dont GSK, Pfizer et Takeda, un millier de vidéos et environ 5.000 médecins utilisateurs.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1826

CES 2022: focus sur quatre entreprises en santé lauréates des "Innovation Awards".
Alors que le Consumer Electronics Show (CES) s'est ouvert le 5 janvier, retour sur les "Innovation Awards" décrochés par les sociétés Abbott, ResMed, Grapheal et Withings pour leurs innovations en santé.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1825

CES 2022: Grapheal part en quête de financements pour son test nasal connecté.
Créée au printemps 2019 par Vincent Bouchiat, PDG de la jeune pousse, et Behnaz Djoharian, directrice informatique, Grapheal concentre ses efforts sur la démonstration du potentiel du graphène-sur-polymère pour le secteur biomédical. Ce nanomatériau, composé de carbone pur ultra-fin, recèle des propriétés électriques, mécaniques et de résistance à la corrosion. Biostimulant, il permet aux cellules de se régénérer plus vite à son contact et sa composition lui permet de détecter avec une plus grande précision la survenue d'un phénomène biologique.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1824

CES 2022: la jeune pousse Aliae "sort de son garage" et dévoile son chatbot.
Créée en 2017, Aliae développe un chatbot ayant pour objectif "le suivi et l'évaluation continue de l'état de santé et de la qualité de vie du patient", a expliqué le dirigeant. A ses débuts, elle s'orientait vers le suivi à distance des patients dans des essais cliniques, mais a rapidement pivoté vers le parcours de soins. Sa technologie s'appuie sur "une intelligence artificielle conversationnelle et d'analyse du langage naturel", et "de la médecine comportementale" ou TCC (thérapies comportementales et cognitives). "Il s'agit de réponses non médicamenteuses qui prennent en compte l'environnement de la personne, sa santé mentale, sa vie sociale, son sommeil… Le but est de la guider vers un meilleur comportement face à la maladie." Elle repose sur une combinaison de trois chatbots distincts: "un sur la partie médicale, un sur l'empathie et un sur le conseil et l'éducation thérapeutique". Un algorithme distribue les chatbots et bascule de l'un à l'autre au fil de la conversation, selon les réponses du patient. "C'est cette spécificité que nous avons mise pour notre sélection au CES", a souligné le CEO.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1823

FollowKnee : une prothèse de genou intelligente.
Pour limiter les risques liés aux reprises, le CEA-Leti a identifié, mis au point et intégré dans une prothèse de genou, un système de mesure composé de trois capteurs et un accéléromètre : FollowKnee. Ensemble, ils facilitent le geste chirurgical, le suivi postopératoire et la rééducation : précision de la pose, détecter les infections et améliorer la rééducation. Un logiciel de planification opératoire y récupère automatiquement les données, et la prothèse est ensuite conçue par une intelligence artificielle (IA) et fabriquée par impression 3D.
https://buzz-esante.fr/ces-2022-tour-dhorizon-des-innovations-en-sante-part-1/

Santé : Oracle rachète Cerner pour 25 milliards d’euros.
https://siecledigital.fr/2021/12/21/oracle-cerner-milliards-euros/

Focus sur la chirurgie augmentée avec SurgAR.
L’utilisation de la réalité augmentée révolutionne la pratique de chirurgie mini-invasive. Exemple avec la jeune société clermontoise SurgAR qui propose au CES « un système de réalité augmentée permettant d’améliorer la vision des tumeurs et des organes pendant les chirurgies mini-invasives, grâce un scanner ou un IRM réalisé au préalable ». En permettant au chirurgien de visualiser sur son écran de coelioscopie les tumeurs à réséquer et les éléments à ne pas léser, les logiciels développés par SurgAR rendent son geste plus sûr, rapide et efficace. Objectif pour SurgAR 2022 : un marquage CE et une certification de la FDA pour les tumeurs de l’utérus, puis du foie et du rein.

Abbott lance la gamme de biocapteurs Lingo.
Le groupe Abbott a dévoilé au CES Lingo, gamme de capteurs bioportables grand public conçue pour suivre les principaux indicateurs du corps, tels que le glucose, les corps cétoniques et le lactate, afin d’aider les personnes à mieux comprendre leur état de santé et les aider à prendre des décisions adaptées. Ces biocapteurs sont conçus pour traduire le langage unique du corps de l’utilisateur en données exploitables pour l’aider à suivre et à mesurer sa santé générale et son bien-être. « Cette technologie sera équivalente à disposer d’une fenêtre sur son corps. Il s’agit d’une science à laquelle vous pourrez accéder à tout moment pour comprendre ce que votre corps vous dit et ce dont il a besoin. Nous aspirons à ce que Lingo aille bien au-delà des objets connectés d’aujourd’hui, afin d’aider les personnes à gérer de manière proactive leur santé, leur nutrition et leurs performances sportives » indique Robert Ford, PDG d’Abbott.

ResMed primé pour son dispositif médical AirSense 11.
Spécialiste du dispositif médical dans les maladies respiratoires, ResMed propose des solutions pour le traitement de l’apnée du sommeil, de la BPCO et d’autres maladies chroniques. Elle a reçu un Innovation Award pour son nouveau dispositif AirSense 11, « appareil de pression positive des voies aériennes (PAP) connecté au cloud pour le traitement de l’apnée du sommeil « . Connecté à sa plateforme myAir, ce nouveau dispositif apporte des conseils personnalisés au patient pour renforcer son engagement.

Basecamp vascular-bcv présente une solution innovante pour améliorer le traitement de l’AVC.
Sélectionnée par la région Île-de-France pour ce CES, Basecamp vascular – bcv a dévoilé une innovation de rupture : une solution micro-robotique de navigation endovasculaire pour faciliter le traitement des accidents vasculaires cérébraux (AVC). Grâce à des activateurs à mémoire de forme, ce guide très innovant est capable de s’adapter à la courbure et à la tortuosité des vaisseaux, même dans les anatomies les plus complexes. Objectif : lancer les premiers essais cliniques chez l’homme en début d’année 2022 et marquage CE.
https://buzz-esante.fr/ces-2022-tour-dhorizon-des-innovations-en-sante-part-2/

Psychiatrie : déjà 8.500 visites sur l'outil en ligne d'aide au diagnostic Psychiaclic pour les généralistes.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6009

Withings acquiert la start-up Impeto.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6010

Télésanté : entre adoption et réticences, Kaspersky dresse le panorama de la santé numérique.
https://www.clubic.com/sante/actualite-403242-telesante-entre-adoption-et-reticences-kaspersky-dresse-le-panorama-de-la-sante-numerique.html

Numérique : un appel à manifestations d'intérêt doté de 71 M€ pour former les professionnels de santé et du médico-social (DNS).
Ces objectifs sont déclinés en cinq actions auxquelles les candidats pourront répondre, est-il détaillé dans une note publiée par David Sainati.
La première action vise à "développer l'offre de formation professionnelle initiale et continue en santé numérique pour les professionnels de santé et médico-sociaux destinés aux emplois dans tous les secteurs publics et privés, ou en exercice libéral".
Parmi les domaines envisageables, sont cités la cybersécurité, les données de santé, la communication numérique, les outils numériques en santé et la télésanté. Elle est ouverte à des consortiums dirigés par une université avec secteur santé et comprenant obligatoirement des établissements agréés pour des formations paramédicales et des travailleurs sociaux associés par convention à une université. Peuvent en faire partie des établissements de l'enseignement supérieur, des établissements hospitaliers, des structures de soins, des agences régionales de santé (ARS), les Régions et des acteurs de la formation dans le numérique et spécialistes du numérique en santé.
La deuxième action a pour objectif "la formation de spécialistes possédant une véritable double culture informatique/santé par la création de parcours de santé numérique (durée 1 an) au sein de mentions de master en informatique, mathématiques appliquées ou Miage [méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises] ou la création de mastères spécialisés en santé numérique ou de spécialités d'ingénieur en santé numérique", ainsi que "la construction et la mise en place de modules de sensibilisation aux problématiques de santé numérique pouvant être insérés soit dans des formations de master en informatique, mathématiques appliquées ou Miage, soit dans des formations d'ingénieurs soit dans des DU ou DE ouverts à la formation continue".
La formation des directeurs ciblée
La troisième action doit permettre "d'accroître les compétences en santé numérique des directions et cadres dirigeants des structures sanitaires et médico-sociales" pendant la formation initiale et en formation continue.
"Les compétences attendues concernent particulièrement la cybersécurité, la gestion des données de santé et plus généralement le management des systèmes d'information de la santé" et "devront permettre aux managers concernés de porter au sein de leurs établissements les actions permettant le développement de la e-santé".
La quatrième action vise à "accroître la proportion de juristes possédant une culture en santé numérique". Elle "propose aux universités ayant un secteur droit et un secteur numérique de mettre en place des parcours de masters dédiés au 'droit numérique en santé'".
Enfin, la cinquième action a pour objectif "d'accroître la proportion de profils en charge des affaires réglementaires et de l'évaluation de conformité en santé numérique".
"Un premier volet porte sur la mise en place de trois nouveaux parcours dédiés aux dispositifs médicaux au niveau des mentions de masters 'sciences du médicament et des métiers de santé' […]. Un deuxième volet complémentaire porte sur la mise en place au sein de ces masters de deux modules de sensibilisation numérisés, l'un portant sur les dispositifs médicaux en général, l'autre sur les aspects réglementaires associés."
https://www.ticsante.com/story.php?story=6015

Près de 800 structures de santé équipées pour le téléservice INSi.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6019

Hack Your Care et Jeunes Médecins nouent un partenariat.
Le syndicat Jeunes Médecins et la plateforme Hack Your Care, qui met en relation des soignants et des start-up, ont annoncé le 5 janvier avoir noué un partenariat pour favoriser l'usage des nouvelles technologies aux professionnels de santé et apporter une expertise médicale aux sociétés qui les développent.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6020

La DNS détaille les critères éthiques du référencement au catalogue de "Mon espace santé".
https://mail.google.com/mail/u/0/?tab=rm&ogbl#search/tic+sant%C3%A9/FMfcgzGmtXJDsQcWVFTjqXTWQbgtSSvW

Chiffrement des données : Doctolib acquiert la start-up française Tanker.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6025

Programme SUN-ES: 879 établissements de santé retenus par les ARS pour la première fenêtre de financement.
SUN-ES vise à amener les établissements de santé vers un plus grand niveau de maturité de leur système d'information (SI). Il se situe dans le prolongement du programme Hop'EN et s'organise en deux volets : un volet consacré à Mon espace santé et à l'alimentation du DMP, et un deuxième volet relatif à la messagerie sécurisée de santé (MSS) citoyenne et à la MSS des professionnels.
Dans le détail, le premier volet définit les cibles d'usage pour l'alimentation de Mon espace santé en documents de santé intégrant l'identité nationale de santé (INS), par le dépôt de ces documents dans le DMP, les rendant directement accessibles à partir de l'espace.
L'éligibilité au volet 1 concernant l'alimentation du DMP "nécessite l'atteinte de six prérequis considérés comme indispensables pour mobiliser les services socle que sont le DMP et la MSS dans un cadre sécurisé", a souligné le ministère. Ainsi, il a été demandé aux établissements d'attester de leur capacité technique à alimenter le DMP et à utiliser la MSS, à partir d'un système d'information hospitalier (SIH), qui présente un certain nombre de garanties autour: "de l'identification du patient en mettant en place les processus d'identitovigilance nécessaires, en lien avec le référentiel national d'identitovigilance (RNIV), des processus SI avec l'existence d'une politique de sécurité des SI régulièrement suivie, d'une analyse de risque et d'un plan d'action à jour, ainsi que la nomination d'un responsable de la sécurité SI (RSSI), de la résilience du SI hospitalier face aux cyberattaques avec la justification de la réalisation d'un audit de cyber surveillance par une société experte".
Toutes les candidatures ont été instruites par les ARS et les 879 établissements retenus représentent "31% des établissements de santé du territoire, et 48% de l'activité réalisée par les établissements de santé en France". "Les établissements dont les candidatures ont été validées par les ARS s'engagent à atteindre sur le 1er semestre 2022 des cibles d'usage ambitieuses autour de l'alimentation du DMP en documents de santé."
https://www.ticsante.com/story.php?story=6031

Télésurveillance médicale : la HAS publie quatre référentiels.
a Haute autorité de santé (HAS) a publié le 26 janvier des référentiels pour les solutions de télésurveillance dans quatre pathologies (diabète, insuffisance cardiaque chronique, insuffisance rénale chronique et insuffisance respiratoire chronique).
https://www.ticsante.com/story.php?story=6035

Officine : l’HAS met à jour le référentiel des logiciels d'aide à la dispensation.
"Les LAD comprenant des fonctionnalités qualifiables de dispositif médical et marquées CE sont dispensés des tests couvrant ces critères réputés acquis par le marquage CE", a précisé la HAS. Le nouveau référentiel comprend 117 critères, dont 40% entrent dans le périmètre du marquage CE.
https://www.ticsante.com/story.php?story=6037

Revue de presse Décembre 2021

Tuesday, January 4, 2022 - 10:00am

 

Le GHT du Limousin a pérennisé une plateforme de suivi des patients lancée au début de la crise Covid.
Durant la session "virage numérique : comment repenser le parcours administratif du patient" Alexandre André a expliqué que l'application a été développée avec la société Exolis. Au départ, elle a été mise en place uniquement au sein du CHU de Limoges (la solution était alors appelée MyCHU) pendant la crise due au Covid-19, afin de favoriser la réactivité de l'établissement, avant d'être déployée dans les établissements du GHT et devenir MyGHTLimousin.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5959

Unicancer et le Health Data Hub lancent un appel à manifestation d'intérêt sur des données partagées.
La fédération Unicancer et le Health Data Hub (HDH) ont lancé un appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour des projets de recherche portés par des centres de lutte contre le cancer (CLCC) et réunissant les données de différents centres, ont-ils annoncé dans un communiqué commun le 25 novembre.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5965

Ségur numérique : 3 solutions référencées et "plus de 50 demandes" reçues par l'ANS.
L'Agence du numérique en santé (ANS) a référencé 3 solutions logicielles conformes aux exigences du Ségur numérique et a déjà reçu "plus de 50 demandes" de référencement, a-t-elle fait savoir par communiqué le 25 novembre.
Le référencement permet aux établissements et aux professionnels de faire financer par l'Etat, via un achat pour compte, l'acquisition d'un logiciel, à condition qu'il respecte les dossiers de spécifications de référencement (DSR) établis par l'ANS.
Une série d'arrêtés publiés au Journal officiel en août ont déclenché le programme de financement, baptisé SONS, pour "système ouvert et non sélectif", en vue de l'équipement des hôpitaux, des médecins libéraux, des biologistes médicaux et des établissements et médecins radiologues ayant une activité radio-diagnostique.
A l'hôpital, le premier logiciel référencé est l'outil de gestion des identités C.Page-i version 216.000, édité par GIP Cpage. Les deux autres logiciels référencés sont Loinc Mapper 1.0 d'Onaos et Phast Mapping Ségur 3.1 de Phast, deux transcodeurs LOINC pour les systèmes de gestion de laboratoire (SGL).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5964

Les députés approuvent la création d'une plateforme de référencement des Covid longs.
Les députés ont approuvé le 26 novembre en première lecture, à l'unanimité, une proposition de loi tendant à mettre sur pied une plateforme de référencement et de prise en charge des malades chroniques du Covid-19.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5967

L'accès précoce confronté aux difficultés du recueil de données en vie réelle.
Pour rappel, l'accès précoce a remplacé depuis le 1er juillet les systèmes d'autorisations temporaires d'utilisation (ATU) en application de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2021.
La réforme a revu en profondeur les dispositifs qui existaient jusqu'ici, avec des autorisations d'accès précoce désormais octroyées par la Haute autorité de santé (HAS) et assorties d'un protocole d'utilisation thérapeutique et de recueil des données (PUT-RD), dont la collecte est à la charge de l'industriel.
S'exprimant lors d'une conférence sur la réforme aux RCFr, Adeline Salasc, pharmacienne chargée du circuit des ATU à Gustave-Roussy (Villejuif, Val-de-Marne), a fait état d'une réforme qui a "pas mal bousculé les choses", avec la mise à disposition par l'établissement d'un ARC [attaché de recherche clinique] supplémentaire "pour nous aider dans ce recueil de données".
"On ne minimise pas du tout les difficultés rencontrées par les professionnels, et on vous invite à nous faire remonter ces difficultés", a répondu Lise Alter, directrice de l'é Lise Alter lui a répondu que les rendez-vous de pré-dépôt de dossier de demande d'accès précoce avaient pour objectif de discuter des données à intégrer dans le recueil. Elle a fait part de la volonté de l’HAS d'accompagner les industriels sur le sujet. Elle a toutefois reconnu que des modifications "à la marge pouvaient avoir lieu sur le PUT-RD lors de l'examen par la commission de la transparence (CT), mais que ses services "travaillent vraiment à faire en sorte que l'industriel soit informé le plus rapidement possible".
Tirant un bilan après quasiment six mois de mise en place de la réforme avec une 34 demandes d'accès précoce déposées et neuf accès octroyés (et deux refus) à ce jour, Lise Alter a appelé à plusieurs reprises à "faire remonter" ces difficultés du terrain pour "tirer de premiers enseignements".
"Ce sujet de la récolte de la donnée, on s'y attelle clairement en ce moment, en lien aussi avec le ministère, les hôpitaux et la Cnil, et c'est important qu'on ait ces retours pour pouvoir essayer de rectifier le cours et voir ce qu'on peut proposer collectivement", a-t-elle affirmé.
Elle a par ailleurs appelé les industriels à déposer des demandes d'accès précoce "le plus tôt possible", constatant que l'essentiel des dossiers déposés jusqu'ici sont des accès précoces post-AMM ou des conversion d'ATU en accès précoce.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1802

Withings et B. Braun lancent "la première étude" sur les bénéfices de l'orthopédie connectée.
L'institut de recherche Riquet du CHU de Toulouse, la société spécialisée dans les objets connectés de santé Withings, l'industriel B. Braun et la start-up Digikare ont annoncé le 29 novembre avoir lancé "la première étude sur l'influence d'un suivi de l'activité postopératoire à l'aide d'outils connectés" en orthopédie.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5971

Suivi des plaies : le CHU de Lille expérimente l'application Pixacare.
Conçue comme une solution numérique destinée au stockage de la photographie médicale, l'application permet au service de chirurgie plastique et reconstructrice de prendre, sécuriser et structurer les photographies médicales de leurs patients et de renforcer la collaboration au sein du service. Cette plateforme leur permet également de mettre en place une télésurveillance médicale des plaies chroniques et post-opératoires, en lien avec les professionnels de santé de ville. D'ici "quelques mois", la solution permettra également d'analyser les photos de plaies grâce à un module d'intelligence artificielle (IA). De plus, le système pourra envoyer des alertes aux soignants en cas de détection de complications telles que les infections des plaies et cicatrices.
Créée en 2019 à Strasbourg par Frédéric Bodin, professeur de chirurgie plastique, Vincent Marceddu, ingénieur informaticien et Matis Ringdal, un entrepreneur formé à Polytechnique et l'université américaine de Berkeley (Californie), la start-up Pixacare a levé 1,9 million d'euros en novembre auprès des fonds d'investissement Saas Partners et Techmind, et de plusieurs entrepreneurs.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5974

Jeux sur ordonnance : Kiplin décroche la certification "dispositif médical".
la start-up se tourne vers le monde de la santé depuis 2016 et développe une solution digitale pour les établissements de santé, composée d'un ensemble de jeux "de santé", permettant aux patients de pratiquer une activité physique adaptée à distance, en dehors des seules séances en présentiel ou en complément de celles-ci. Pour mesurer les progrès accomplis grâce à Kiplin, les utilisateurs se voient proposer, avant et après leur programme, un bilan de condition physique. Celui-ci s'effectue notamment à travers deux tests : mesure de la distance maximale parcourue en 6 minutes de marche, et nombre maximum de répétitions assis/debout en 30 secondes. Ce sont ces deux tests qui disposent désormais du statut de DM.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5976

Dématérialisation des essais cliniques : vers une pérennisation de la pratique ?
Accélérées par la crise du Covid-19, la dématérialisation et la décentralisation des investigations cliniques pourraient être pérennisées pour ''faciliter et adapter'' la recherche aux progrès techniques et scientifiques, ont fait valoir plusieurs spécialistes du secteur lors d'une table ronde organisée le 16 novembre par l'Association française des sociétés de recherche clinique sous contrat (Afcros).
Un ''changement de paradigme'' à accompagner. Les évolutions réglementaires attendues.
Mené par la CNRIPH, ce chantier a été ''mis en pause'' après qu'un groupe de travail de la Commission européenne (Clinical Trial Expert Group) a été lancé, auquel la France souhaite apporter sa contribution. le nouveau système d'information européen sur les essais cliniques (Clinical trial information system ou CTIS) sera disponible le 31 janvier 2022.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1814

Dedalus intègre la plateforme d'analyse des prescriptions de PharmIA à ses DPI.
Le but du logiciel est de "réduire le risque iatrogène, et rendre la pharmacie hospitalière plus efficace tout en déployant des stratégies de télépharmacie", tout en "détectant les cas les plus critiques et en facilitant leur investigation en temps réel".Développée avec le CHU de Montpellier et le CH de Valenciennes, la solution est opérationnelle dans ces deux établissements. Ce partenariat, dont les détails financiers n'ont pas été dévoilés, permettra "d'accélérer le développement commercial et l'intégration de la plateforme PharmIA auprès des hôpitaux européens", assurent les deux sociétés.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5978

"Talents de la e-santé 2022": la DNS et l'ANS récompensent 11 projets dans de nombreux domaines.
Les projets devaient "être conjointement portés" par des établissements sanitaires ou médico-sociaux, ou par des professionnels de santé exerçant soit en libéral, soit en centre ou maison de santé, soit en établissement de santé ou médico-social, "avec un ou des industriels, et si possible un ou des institutionnels soutenant le projet".Le prix de l'IA a été décerné à la start-up Kiro et au groupe suisse de diagnostic Unilabs pour leur "outil qui analyse les résultats d'analyse biologique par rapport au profil du patient afin de proposer au médecin des examens complémentaires ou des actions de prévention non médicamenteuses".Il "s'appuie sur l'IA et le deep learning pour donner une nouvelle expérience au prescripteur".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5979

Semaphore, l'outil de Clinityx pour "améliorer la transparence de la recherche sur les données de santé".
L'entreprise Clinityx, spécialisée dans la collecte et le traitement des données de santé, a lancé le 13 décembre sa plateforme "Semaphore", qui promet "la transparence de la recherche sur les données de santé en amenant l'information au plus près des patients", ont expliqué le 3 décembre à TICsanté deux dirigeants de la société.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5985

Un référentiel unique d'interopérabilité du médicament disponible au quatrième trimestre 2022 (ANS).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5987

CES 2022: demandez le programme santé.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1821

Health Data Hub dévoile la composition de son conseil scientifique consultatif.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1815

Un algorithme associé aux montres connectées Fitbit apparaît fiable pour détecter la fibrillation atriale en population générale.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1816

La procédure de référencement au catalogue de "Mon espace santé" est ouverte.
La procédure de référencement au catalogue de l'espace numérique de santé (ENS) ou "Mon espace santé" est ouverte et les éditeurs "peuvent d'ores et déjà déclarer leur conformité aux critères" pour être référencés, a annoncé le 16 décembre la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS) à l'occasion du Conseil du numérique en santé (CNS).
Action n°16 de la feuille de route pour le numérique en santé, "Mon espace santé" s'articulera autour de quatre briques : le dossier médical partagé (DMP), l'agenda de santé, la messagerie sécurisée et le catalogue d'applications. Il doit être généralisé à partir de "la deuxième quinzaine de janvier 2022".
Composante majeure de l'ENS, le catalogue d'applications ou "store" regroupera les services numériques en santé référencés par la puissance publique, selon des critères qui doivent encore être définis par un arrêté prévu "début 2022", a appris TIC santé le 16 décembre.
En attendant, les industriels peuvent déjà vérifier la conformité de leurs solutions à la doctrine du numérique en santé sur le portail "Convergence" développé par l'agence du numérique en santé (ANS). Pour certains critères, les éditeurs devront respecter un seuil minimum de maturité pour être éligibles au référencement. Ces critères obligatoires sont accompagnés de critères "optionnels", c'est-à-dire sans seuil minimum d'exigence.
"Les réponses à ces critères seront rendues publiques pour aiguiller le citoyen dans le choix des outils" et des critères optionnels pourront devenir obligatoires "au gré de la maturation du secteur du numérique en santé", prévient l'ANS sur son portail.
Un guide de référencement est également mis à disposition des éditeurs sur l'espace industriel du groupement d'intérêt économique (GIE) Sesame-Vitale. Il présente le processus, des principes et des règles générales applicables au référencement au catalogue de Mon espace santé.
Le dispositif mis en place pour vérifier la conformité des services avant leur intégration dans le catalogue des services référencés est porté par le GIE Sesame-Vitale et l'ANS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5992

Les événements E-santé à ne pas manquer : Janvier 2022.
https://buzz-esante.fr/buzz-agenda-les-evenements-e-sante-a-ne-pas-manquer-janvier-2022/

IQVIA dévoile une nouvelle étude sur les impacts de l’intelligence artificielle en médecine.
https://buzz-esante.fr/iqvia-devoile-une-nouvelle-etude-sur-les-impacts-de-lintelligence-artificielle-en-medecine/
https://buzz-esante.fr/wp-content/uploads/2021/12/Etude-IAweb.pdf

Covid long : étude infodémiologique via les réseaux sociaux.
Après consultation de « #ApresJ20 – Association Covid Long France », les résultats de cette étude concordent avec le vécu des patients et aux caractéristiques multi systémique, fluctuante et invalidante du COVID long. Cette étude montre l’intérêt de l’analyse des réseaux sociaux dans le suivi épidémiologique de maladies infectieuses émergentes telles que la COVID-19 et dans l’identification des difficultés rencontrées par les patients atteints de formes longues de COVID-19.
https://buzz-esante.fr/covid-long-etude-infodemiologique-via-les-reseaux-sociaux/

Une quinzaine de signataires de renom – chercheurs à l’Inserm, psychiatres, virologues et statisticiens – assurent qu’à cause du stress ou d’une dépression passagère, la Covid-19 peut se prolonger au-delà de son développement naturel.
Ils ont interviewé et testé la sérologie de près de 27.000 personnes pour avancer leur hypothèse. A l’issue de ces investigations, Cédric Lemogne, chef du service psychiatrie de l’Hôtel-Dieu à Paris et principal auteur de l’étude, conclut que « les symptômes physiques persistants après une infection au Covid-19 peuvent être davantage associés à la croyance d’avoir été infecté par le Sars-CoV‑2 qu’à une infection au Covid-19 confirmée en laboratoire ». Une autre explication a été avancée par des chercheurs de l’UZ Brussel et de la Vrije Universiteit Brussel dans The Journal of Clinical Medicine. Selon eux, plus de 70 % des patients souffrant du Covid long présentent une sensibilité accrue du système nerveux central, comme c’est le cas pour certaines affections douloureuses chroniques telles que la fibromyalgie.
Les Echos, 03/01

Revue de presse Novembre 2021

Friday, December 3, 2021 - 12:15pm

 

 

DentalMonitoring lève 150 millions de dollars et devient la troisième licorne française de l'e-santé.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5916

Des cancers cutanés rares et agressifs mal évalués par une application mobile grand public.
Une intelligence artificielle (IA) utilisée dans une application mobile destinée au grand public n'a pas réussi à détecter des cancers cutanés rares mais agressifs des carcinomes de Merkel et des mélanomes amélanotiques s'inquiètent des chercheurs britanniques dans une étude présentée fin septembre au congrès virtuel de l'European Academy of Dermatology and Venereology (EADV).
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1772

Talents de l'e-santé 2021 : les candidatures sont ouvertes.
Cet événement sera consacré à la reconnaissance et la valorisation de ceux qui mènent des projets d'e-santé structurants pour leur territoire et pour l'avenir du système de santé français, a détaillé la DNS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5920

Pharma industry should get regulated access to health data - Germany's Health Ministry
L'Allemagne avance vers un Health Data Hub.

L'industrie pharmaceutique devrait pouvoir accéder aux données de santé récoltées par les pouvoirs publics, a estimé le chef de la division des nouvelles technologies et de l'utilisation des données au ministère allemand de la santé, Nick Schneider, le 2 novembre. "Il y aura toujours un moyen d'accéder à des données, la question est de savoir si l'accès doit être réglementé et encadré par l'Etat et les données de qualité, ou si nous devons laisser faire le marché", a-t-il déclaré, selon APM Health Europe (site du groupe APM International qui édite TICpharma)
https://www.apmhealtheurope.com/nostory.php?uid=16814&objet=76616

Blockchain en santé : DrData a déposé le premier brevet français.
La start-up parisienne DrData, spécialisée dans la protection des données personnelles de santé, a annoncé le 8 novembre le dépôt du "premier brevet en France pour la gestion de l'information, du consentement et de l'opposition des patients sur l'usage de leurs données personnelles via un registre distribué".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5933

Santexpo : Tessi lance sa solution de recueil de consentement dynamique.
La solution est destinée à "apporter une réponse concrète et locale, complémentaire à Mon espace santé", pour les patients et les aidants, en leur permettant d'exercer leurs droits au consentement de manière dématérialisée.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5934

Le palmarès des "Trophées Innovation" décernés à Santexpo.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5936

E-santé : pas moins de 22 événements prévus dans le cadre de la présidence française de l'UE.
Une réunion du réseau eHealth Network doit se tenir les 1er et 2 juin 2022 à Paris.
Ce réseau "assez informel et à la gouvernance légère" rassemble "les DNS européens". Il est animé par la direction générale de la santé et de la sécurité alimentaire (DG santé) de la Commission européenne.
Créé à la suite de la directive européenne 2011/24/EU sur les soins de santé transfrontaliers, il a notamment mené les travaux sur le passe sanitaire européen et le service européen de partage de synthèse médicale, ont expliqué les responsables de la DNS.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1787

Nvidia Clara Holoscan permet de créer des algorithmes à partir des données des appareils médicaux.
L'objectif de Clara Holoscan est de pouvoir intégrer de l'IA dans n'importe quel dispositif médical, du robot chirurgical au plateau d'imagerie médicale. Les cas d'usage sont multiples : détecter une tumeur par l'imagerie médicale, guider plus facilement un robot lors d'une opération…
Elle relie les appareils médicaux aux serveurs périphériques : les modèles sont exécutés sur les appareils tout en transférant les tâches les plus complexes aux ressources du data center. En pratique, une fois que les données transmises au GPU, CUDA-X (des bibliothèques logicielles pour l'IA) et Triton Inference Server (logiciel open source pour l'IA) accélèrent les calculs pour transformer les données des capteurs en images. En combinant ces images avec d'autres images précédemment acquises grâce à la bibliothèque Nvidia cuCIM, les développeurs peuvent combiner différentes données, comme les signaux vitaux, afin de développeur leur algorithme.
https://www.usine-digitale.fr/article/nvidia-clara-holoscan-permet-de-creer-des-algorithmes-a-partir-des-donnees-des-appareils-medicaux.N1158272

FDA In Brief: FDA Provides New Draft Guidance on Premarket Submissions for Device Software Functions.
https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-brief-fda-provides-new-draft-guidance-premarket-submissions-device-software-functions

De premiers projets pour la Bibliothèque Ouverte d’Algorithmes en Santé.
https://www.health-data-hub.fr/actualites/premiers-projets-BOAS

Le gouvernement prévoit d'investir 1,5 milliard d'euros dans une nouvelle phase de la stratégie nationale d'intelligence artificielle, ont annoncé le secrétaire d'Etat chargé du numérique, Cédric O, et la ministre de l’Éducation supérieure, de la recherche et de l'innovation, Frédérique Vidal, le 8 novembre. La moitié des fonds (781 millions d'euros) sera orienté vers l'enseignement et la formation.
La quasi-totalité des GHT exploitent au moins une solution de télésanté (enquête Catel-FHF).
Un peu plus de la moitié (53%) des établissements ont déployé la télésurveillance, un tiers (33%) le télésuivi, 20% le télésoin et 20% la régulation médicale.
Plus de 90% des répondants "estiment qu'un projet télésanté de territoire ne doit pas se faire sans impliquer la médecine de ville ou la filière médico-sociale".
Cependant, ils ne sont que 65% à avoir mis en oeuvre un projet de télésanté avec la médecine de ville, et 77% avec le secteur médico-social.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5945

Informatique hospitalière : sept éditeurs s'allient pour proposer une offre commune.
L'objectif est de "proposer un panel de solutions souples, évolutives et interopérables qui permettent de s’adapter à chaque situation et configuration d’établissement", présenté comme "une alternative au modèle historique de la 'solution tout-en-un' des éditeurs IT qui laisse peu de place à la personnalisation et induit des cycles longs de déploiement et d'évolution". Ces solutions sont disponibles en mode SaaS (software as a service) et "alignées avec la stratégie nationale Ma Santé 2022.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5947

Intelligence artificielle en oncologie : Sanofi injecte 180 millions de dollars dans le capital d'Owkin.
Cofondée en 2016 par le Dr Thomas Clozel, médecin, chercheur clinicien et ancien professeur adjoint en hématologie clinique, et le Dr Gilles Wainrib, chef de file de l'IA appliquée à la biologie, Owkin s'appuie sur l'IA et prône la confidentialité et la sécurité des données pour accélérer la recherche médicale.Pour cela, la société parisienne a mis en place "un réseau de recherche global" fondé sur l'apprentissage fédéré, permettant aux spécialistes des données de se connecter de manière sécurisée à des ensembles de données multipartites décentralisés et d'établir les modèles d'IA sans mise en commun des données.
La jeune pousse a ainsi dévoilé ses collaborations avec Gustave-Roussy à Villejuif, l'Institut Bergonié à Bordeaux ou encore le CHU de Nantes et l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP).
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1794

La e-santé très présente dans la 6e promotion de start-up de l'incubateur Tech Care Paris.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1790

L'Institut Curie s'associe à Ibex Medical Analytics pour améliorer la détection du cancer du sein grâce à l'IA.
https://www.ticpharma.com/story/1485/l-institut-curie-s-associe-a-ibex-medical-analytics-pour-ameliorer-la-detection-du-cancer-du-sein-grace-a-l-ia.html

Mon espace santé : "plus de 160.000" utilisateurs actifs dans les départements pilotes (Cnam).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5955

Recherche médicale en ligne : 360 Medics lève 10 millions d'euros.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5954

Registres et données de santé : Utilité et perspectives en santé publique.
l existe plusieurs définitions des registres populationnels et des registres de pratiques, celle des registres populationnels étant davantage consensuelle que celle des registres de pratiques. De façon générale, les registres constituent un apport important et à ce jour insubstituable en santé publique et en recherche. Ils sont complémentaires à d’autres sources et d’autres approches.
À travers 5 questions évaluatives formulées à partir de la saisine de la Direction générale de la santé, le Haut Conseil de la santé publique émet 54 recommandations déclinées en recommandations générales, recommandations sur la pertinence et l’utilité des registres, la détection des signaux faibles, leurs qualités techniques attendues, leur diffusion et valorisation, ainsi que sur leur évaluation.
Le HCSP s’est appuyé sur des auditions, des contributions écrites, une recherche documentaire, une analyse des politiques nationales en matière de registres de 5 pays et un recensement des registres de pratiques en lien avec la Fédération des Spécialités médicales (FSM).
En particulier le HCSP recommande de :
- Réviser la définition d’un registre pour permettre son inscription à un répertoire national, en intégrant dans la définition les registres de pratiques ;
- Créer une structure nationale disposant d’un guichet unique pour la création ou l’accompagnement des registres, en la dotant des missions suivantes : pilotage, coordination, évaluation et labellisation des registres ;
- Créer un répertoire national de tous les registres qui répondent à la définition, quel que soit leur mode de financement, et labellisés par la structure nationale ;
- Positionner et favoriser le rôle des registres pour l’interprétation des signaux faibles ;
- Définir précisément et documenter un nombre limité de données à recueillir en adéquation avec les missions que chaque registre s’engage à remplir ;
- Favoriser l’interopérabilité entre les registres populationnels et les registres de pratiques mais également entre les données propres aux registres et les autres bases de données afin de diffuser et de valoriser les données des registres ;
- Organiser au sein de la structure nationale une mission en charge d’élaborer un référentiel d’évaluation complet et précis ;
- Améliorer la communication vis-à-vis des usagers du système de santé et les associer à la démarche d’évaluation des registres
https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1126

France – Évaluation de la compatibilité IRM des dispositifs médicaux implantables par la CNEDiMTS.
https://www.ris.world/france-evaluation-de-la-compatibilite-irm-des-dispositifs-medicaux-implantables-par-la-cnedimts/?utm_source=RIS.WORLD+%26+IFEP+by+White-Tillet&utm_campaign=2a53191daa-EMAIL_CAMPAIGN_2021_11_24_06_46&utm_medium=email&utm_term=0_8a1f407c04-2a53191daa-112833964

France – L’HAS se dote d’une cellule sur les données en vie réelle.
https://www.ris.world/france-la-has-se-dote-dune-cellule-sur-les-donnees-en-vie-reelle/?utm_source=RIS.WORLD+%26+IFEP+by+White-Tillet&utm_campaign=2a53191daa-EMAIL_CAMPAIGN_2021_11_24_06_46&utm_medium=email&utm_term=0_8a1f407c04-2a53191daa-112833964

France – Forum sur l’évaluation de l’IA, le 24 novembre à Paris.
Garantir la fiabilité et les performances de l'intelligence artificielle (IA) passe par son évaluation. C’est autour de cette thématique, essentielle pour les applications médicales notamment, que se tiendra la première édition de cet événement organisé par le LNE.
https://www.ris.world/france-forum-sur-levaluation-de-lia-le-24-novembre-a-paris/?utm_source=RIS.WORLD+%26+IFEP+by+White-Tillet&utm_campaign=1db4a26c83-EMAIL_CAMPAIGN_2021_11_17_04_10&utm_medium=email&utm_term=0_8a1f407c04-1db4a26c83-112833964

Real-world evidence from EHR supports antimicrobial resistance fight.
https://www.raps.org/news-and-articles/news-articles/2021/11/real-world-evidence-from-ehr-supports-antimicrobia?feed=Regulatory-Focus

Que disent les règlements européens sur les DM face aux défis de l’IA ?
https://www.devicemed.fr/dossiers/reglementation/que-disent-les-reglements-europeens-sur-les-dm-face-aux-defis-de-lia/29005

Revue de presse Octobre 2021

Friday, November 5, 2021 - 11:00am

Alexa launches service to help caregivers remotely monitor and assist seniors.
Amazon is launching Alexa Together, a subscription service that allows caregivers to assist and remotely monitor aging family members in their homes. The subscription, which Amazon will release later this year in the U.S., will cost $19.99 a month and builds on the company’s Care Hub features that debuted in November 2020.
https://www.mobihealthnews.com/news/alexa-launches-service-help-caregivers-remotely-monitor-and-assist-seniors

Ce qu'il faut retenir du PLFSS pour 2022 dans l'e-santé.
L'article 35 de l'avant-projet, qui concerne les innovations dans le champ du numérique, envisage la mise en place d'un "dispositif d'accès au remboursement transitoire et temporaire" d'une durée d'un an, seulement pour les thérapies numériques (digital therapeutics, DTx) et les solutions numériques "présumées innovantes" de télésurveillance. Il "s'inscrit dans la lignée de l'ensemble des mesures récentes prises en faveur de l'accès des patients à l'innovation en matière de produits de santé, en ciblant notamment les dispositifs médicaux numériques", notamment celles annoncées à l'issue du Conseil stratégique des industries de santé (Csis) en juin, est-il indiqué dans l'exposé des motifs.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1744

Health Data Hub : sept nouveaux "data challenges" portés par des établissements de santé et des sociétés savantes.
Les sept projets retenus ont été sélectionnés "grâce au soutien de David Sainati, directeur de projet au sein de la DNS", a souligné le HDH.
Ils vont bénéficier d'un accompagnement du Hub fin 2021 et en 2022, "ainsi que d'un soutien financier de la part de la banque publique d'investissement Bpifrance". "Ces projets s'inscrivent dans une démarche d'ouverture de la science. Les données collectées à l'occasion des data challenges seront vouées à être partagées en open data sur la plateforme du Health Data Hub. De même, les lauréats des compétitions seront incités à partager leurs algorithmes en open source", a souligné le GIP.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1738

Le Pr Olivier Guerin, PU-PH au CHU de Nice et président de la Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG), a été nommé vice-président de Future4Care, la société commune d'e-santé de Sanofi, Orange, Generali et Capgemini. Il sera chargé "d’accompagner le développement" de la société, qui a lancé son premier appel à projets.
Télésurveillance : vers une entrée en vigueur du remboursement de droit commun au plus tard le 1er juillet 2022 (PLFSS).
l prévoit que la télésurveillance peut être prise en charge quand elle réalisée par une organisation pouvant regrouper "des professionnels de santé exerçant en libéral, ou au sein d'un établissement de santé, d'un centre de santé, d'une maison de santé pluri professionnelle, ou d'un établissement ou un service médico-social", ou "d'un seul professionnel de santé médical" à condition que les indications le permettent.
L'organisation doit se déclarer au préalable auprès de son agence régionale de santé (ARS), en précisant "les professionnels impliqués dans l'organisation et les dispositions prises pour assurer la continuité des soins". Le contenu de cette déclaration sera précisé par décret.
En cas de manquement à ces dispositions ou compromettant la qualité ou la sécurité des soins, le directeur général de l'ARS peut mettre "fin à la validité de la déclaration" et la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) suspendre les remboursements.
La prise en charge concerne également "des services et outils numériques à visée de télésurveillance intégrés ou non à un dispositif médical inscrit sur la liste [des produits et prestations remboursables -LPPR] à usage individuel dénommés 'dispositifs médicaux numériques de télésurveillance', et le cas échéant des dispositifs médicaux de collecte associés lorsqu'ils ne sont ni implantables, ni invasifs et sans visée thérapeutique".
Les DM remboursés sont inscrits sur une liste établie par arrêté du ministre de la santé après avis de la Haute autorité de santé (HAS).
L'inscription prend la forme d'un référentiel proposé par la HAS comprenant "soit la description d'une ligne générique du dispositif médical numérique de télésurveillance concerné et le cas échéant, du dispositif de collecte associé, soit le nom de marque ou le nom commercial dudit dispositif médical et le cas échéant, du dispositif de collecte associé", ainsi que "les exigences minimales applicables à l'organisation de télésurveillance", notamment "la qualification des professionnels de santé et les dispositions nécessaires pour assurer la qualité des soins".
Elle "peut être subordonnée au respect de spécifications techniques, d'indications de télésurveillance, de conditions particulières de prescription, d'utilisation et de distribution", ou "au dépôt auprès des ministres, par les exploitants des dispositifs, d'une déclaration de conformité aux référentiels d'interopérabilité et de sécurité" définis par l'Agence du numérique en santé (ANS).
En prévision de l'inscription d'un DM ou des activités de télésurveillance, l’HAS «indique si elle reconnaît l'existence d'un progrès procuré par les activités de télésurveillance associées au dispositif médical numérique de télésurveillance au regard des référentiels inscrits dans l'indication concernée lorsqu'ils existent, ou à défaut, au regard de la prise en charge sans télésurveillance".
"En cas d'existence d'un progrès procuré, le référentiel existant est radié au terme d'une période de dégressivité du remboursement dans des conditions définies par décret.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5876

Services d'accès aux soins: la plateforme numérique disponible sous peu (ANS).
La création du SAS est destinée à conseiller et orienter à distance la population afin de diminuer les passages aux urgences.
Accessible par téléphone et en ligne, il doit permettre au patient d'accéder à toute heure et à distance à un professionnel de santé qui puisse lui fournir un conseil, une téléconsultation ou une orientation vers une structure hospitalière ou libérale en fonction de son état de santé.
En novembre 2020, l'ANS s'est vu confier la maîtrise d'ouvrage du projet SAS, mené dans le cadre du pacte de refondation des urgences et inscrit dans les accords du Ségur.
La plateforme numérique SAS, destinée aux professionnels régulateurs et effecteurs, devrait être disponible "à la fin du T3 2021", a fait savoir le 29 septembre après-midi Annie Prévot à l'occasion de la rentrée de l'e-santé organisée par l'ANS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5885

SI de santé: l'ANS sélectionne EY Advisory, Kereval, Wavestone et Advens pour un large marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage.
Le troisième lot, qui concerne des prestations d'assistance et d'expertise en sécurité opérationnelle des SI de santé, est également attribué à Wavestone et Advens. ll consiste en "la fourniture continue de services permettant d'apporter un appui à la cellule Accompagnement cybersécurité des structures de santé (ACSS) de l'ANS", qui "assure la veille technique et la réponse aux incidents" de sécurité des SI.
La cellule ACSS est devenue le CERT Santé en avril.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5884

Numérique en santé: le ministère partage les chiffres du déploiement de plusieurs services socles.
Déploiement du dossier médical partagé (DMP) en Ehpad, nombre de professionnels et établissements de santé équipés d'une messagerie sécurisée de santé (MSSanté) ou encore faible nombre de CHU équipés pour utiliser le téléservice INSi, le ministère a partagé plusieurs chiffres relatifs au déploiement de ces services socles lors des Journées nationales des industriels (JNI), organisées les 5 et 6 octobre par l'Agence du numérique en santé (ANS).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5887

Label SecNumCloud et certification HDS: comment OVHcloud renforce sa verticale santé.
Leader européen du cloud, le nordiste OVHcloud s'appuie sur ses offres d'hébergement de données de santé certifiées et sécurisées, et son label SecNumCloud pour accélérer dans le secteur de la santé.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1750

E-santé: de nombreux arrêtés et décrets attendus dans les prochains mois (ANS).
Cinq arrêtés avec des référentiels préparés par l'ANS sont en préparation :
Le premier, attendu d'ici la fin de l'année, définira "le niveau de garantie minimal exigé pour l'identification électronique des patients et des professionnels de santé", qu'ils soient des personnes physiques ou des personnes morales.
Le deuxième décrira les moyens d'identification électronique pour les personnes morales. Il a été notifié à la Commission européenne cet été.
Le troisième décrira les moyens d'identification électronique e-CPS et le fédérateur Pro Santé Connect. Il sera notifié "prochainement" à la Commission.
Le quatrième portera sur le nouveau répertoire partagé des professionnels de santé (RPPS), élargi à de nouvelles catégories de professionnels et rebaptisé RPPS+, afin de leur permettre de disposer des moyens d'identification électronique. Il est attendu début 2022.
Le cinquième portera sur le fichier national des établissements sanitaires et sociaux (Finess), pour le même objectif. Il est attendu au premier trimestre 2022.
Enfin, plusieurs décrets sont en préparation pour autoriser les professionnels des services de santé au travail à accéder au DMP en écriture et en lecture. Ceux-ci peuvent l'alimenter mais pas le consulter. Ces professionnels vont également être autorisés à utiliser des outils de télésanté.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5889

Portail SI-Samu: 11 agences régionales de santé et 83 Samu connectés (ANS).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5888

Numérique en santé: le ministère partage les chiffres du déploiement de plusieurs services socles.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5887

Portabilité des données de santé : les médecins de ville pris entre flou juridique et casse-tête technique.
"Nous, éditeurs, faisons passer le message qu'il faut un format défini des données pour leur portabilité", a insisté Dany Huppenoire.
Rêve pieu ou dessein réaliste, éditeurs et médecins libéraux se retrouvent au moins autour de cette volonté commune de progresser vers une standardisation des formats. De quoi garantir une portabilité des données enfin sereine ?
https://www.ticsante.com/story.php?story=5891

Conciliation médicamenteuse : Synapse Medicine et Dedalus France nouent un partenariat.
Le module de conciliation médicamenteuse est constitué d'un ensemble de composants certifiés dispositifs médicaux et à la lutte contre l'iatrogénie édicamenteuse. Pour limiter ces erreurs, le module de conciliation médicamenteuse développé par Synapse Medicine sera désormais proposé avec une "intégration native" par Dedalus France au sein de ses logiciels DPI Orbis (Agfa Healthcare), DxCare, Dopasys.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5892

Ouverture des données : l'ANSM n'a atteint que 40% de ses objectifs en 2020
Les principaux projets se poursuivent, notamment la base de données européenne pour les DM Eudamed, la nouvelle base nationale de pharmacovigilance PEMBA, l'interface entre le portail national des vigilances et [son] outil de matériovigilance, et la mise en place de procédures dématérialisées, entre autres pour les déclarations d'import-export, de ruptures de stock de médicaments ou pour la table commune des réactifs.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1757

Bourgogne-Franche-Comté : plus de 30.000 dossiers patients ouverts sur la plateforme de coordination eTICSS.
Le palier de 30.000 personnes "disposant d'un dossier eParcours a été franchi en Bourgogne-Franche-Comté, confirmant l'intérêt, pour les professionnels et leurs patients, de l'outil de coordination eTICSS [eTerritoire innovant coordonné santé social]", a rapporté l'agence régionale de santé (ARS) Bourgogne-Franche-Comté le 12 octobre dans un communiqué.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5900

E-Parcours : 257 projets financés pour 142 millions d'euros engagés au total (ministère).
Le programme e-Parcours (2018-2022) est doté de 150 millions d'euros et a pris le relais des "Territoires de soins numériques". Ces organisations territoriales sont les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS), les groupements de professionnels dans le cadre de l'expérimentation "article 51" et les dispositifs d'appui à la coordination (DAC). Les DAC regroupent les réseaux de santé, les méthodes d'action pour l'intégration des services d'aide et de soins dans le champ de l'autonomie (Maia), des plateformes territoriales d'appui (PTA) et des coordinations territoriales d'appui (CTA).
Les agences régionales de santé (ARS) sont invitées à identifier les projets territoriaux des professionnels de santé en vue d'une demande de financement auprès de la direction générale de l'offre de soins (DGOS. À date, 257 projets sont actuellement financés dans le cadre du programme e-Parcours : 117 concernent des DAC, 11 concernent des projets d'expérimentation "article 51" (en référence à l'article 51 de la loi de financement de la sécurité sociale LFSS 2018) et 129 concernent des CPTS.
"À noter qu'il ne s'agit que des projets soumis aux demandes de financements nationaux et que ce n'est pas exhaustif des projets de CPTS/DAC/article 51 pouvant exister sur les territoires", a précisé le ministère à TICanté.
Parmi ces projets, répartis dans 17 régions françaises, 36 ont atteint les cibles d'usage dans cinq régions : 5 projets en Bretagne, 2 en Pays de la Loire, 12 en Ile-de-France, 12 en Nouvelle-Aquitaine et 5 en Bourgogne-Franche-Comté. "Il s'agit de projets des DAC essentiellement." Il reste deux régions dans lesquelles il n'y a pas encore d'outils déployés : la Guyane et la Corse. "Concernant la Guyane, le marché a été notifié début septembre et le projet est en démarrage. Pour la Corse, le marché est en cours de passation et donc la région engagera le déploiement des outils en 2022", a indiqué le ministère.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5905

Télésanté : MesDocteurs et Postelo nouent un partenariat.
Créée en 2018, Postelo est une plateforme d'applications médicales collaboratives et de télé-expertise (échange d'avis à distance entre deux professionnels de santé au sujet d'un patient). Avec sa solution "AvecMonDoc", MesDocteurs dispose de son côté d'une solution de gestion de patientèle modulable et 100% en ligne.
Elle intègre un agenda unique, un service de téléconsultation en visioconférence sécurisée et cryptée, un module de télétransmission et facturation, un dispositif d'aide à la prescription basé sur l'intelligence artificielle (IA) et un service de transports sanitaires. "Postelo et MesDocteurs apportent une suite de services interfacés et interopérables qui facilitent la pratique des professionnels de santé et leur collaboration en faisant le lien entre la prise de rendez-vous, la consultation ou la téléconsultation et la télé-expertise", ont fait valoir les deux entreprises dans un communiqué conjoint.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5906

Le laboratoire Roche France a annoncé le 20 octobre avoir rejoint l'association "Filière intelligence artificielle et cancer", destinée à favoriser l'accélération de l'innovation et de la recherche en cancérologie. Il s'agit du huitième industriel "membre fondateur" de l'association lancée le 14 septembre, qui réunit l'Institut national du cancer (Inca), l'Alliance pour la recherche et l'innovation des industries de la santé (Ariis), le Health Data Hub, France Biotech, Amgen, AstraZeneca, Novartis, Pierre Fabre, MSD, Pfizer et Janssen (groupe Johnson & Johnson, J&J).

Entrepôt de données de santé : publication du référentiel relatif aux traitements de données personnelles.
Il s'agit de la production d'indicateurs et le pilotage stratégique de l'activité, "sous la responsabilité du médecin responsable de l'information médicale (DIM) (par exemple: les analyses médico-économiques de parcours de soins, évaluation de la qualité et de la pertinence des prises en charge)"; l'amélioration de la qualité de l'information médicale ou l'optimisation du codage dans le cadre du programme de médicalisation des systèmes d'information (PMSI); le fonctionnement d'outils d'aide au diagnostic médical ou à la prise en charge et la réalisation d'études de faisabilité (pré-screening).
"Ne sont pas concernés par ce référentiel : les traitements de données à caractère personnel nécessaires aux fins de la médecine préventive, des diagnostics médicaux, de l'administration de soins ou de traitements, ou de la gestion de services de santé et mis en œuvre par les professionnels de santé et les systèmes ou services de soins de santé, par application des dispositions du 1° de l'article 65 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée", précise le texte.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5913

Prescription médicale : Follow et Vidal nouent un partenariat stratégique.
Synchronisé avec la base de données Vidal, les médecins utilisateurs de Follow vont pouvoir rédiger des ordonnances de médicaments princeps et génériques. Les praticiens vont avoir accès aux nouvelles interfaces développées pour l'aide à la prescription de médicaments, l'aide à la décision et au suivi des traitements avec des alertes en fonction des antécédents chirurgicaux, médicaux, thérapeutiques et familiaux des patients.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5912

Cyber sécurité: la Cnil a mis en demeure la société Francetest.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5917

Publication de la feuille de route de la donnée, des algorithmes et des codes sources du ministère de la santé.
https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/article/la-data-au-service-des-politiques-sanitaires-et-sociales-la-feuille-de-route

L’Inria et l’Inserm renforcent leurs liens sur la question du numérique appliqué à la santé.
l’Inria et l’Inserm ont mis en place une équipe mixte, HeKa, autour d’un programme cherchant la meilleure application possible du numérique aux données biologiques et médicales. Pour Sarah Zohar, directrice de recherche Inserm et à la tête d’HeKA, l’objectif final est de trouver « le meilleur traitement, et le meilleur moment pour l’administrer à la meilleure personne. » Une recherche qui ne peut s’effectuer, selon elle, qu’avec le développement d’algorithmes et de modèles perfectionnés, capable de traiter une masse de données toujours croissante, et rarement "propres".
« La raison pour laquelle l’Inserm ne travaille pas seul sur ces questions, commente Hugues Berry, adjoint au directeur scientifique “Santé, biologie et planète numériques" à l’Inria, c’est que les algorithmes ne s’entraînent facilement que lorsque les données sont propres, réparties en petits nombres dans de nombreux exemples. Ce qui n’arrive jamais en milieu médical. » Il est donc nécessaire de créer des algorithmes dédiés, avec le concours de personnes sensibilisées aux problématiques de la santé.
https://www.industrie-techno.com/article/l-inria-et-l-inserm-renforcent-leurs-liens-sur-la-question-du-numerique-applique-a-la-sante.67077

*21/11 : 3e FORUM DE L’IA EN SANTE – NANCY
*Le CHRU de Nancy organise son 3e forum nancéien de l’IA en santé le 23 novembre prochain : « Intelligence artificielle au coeur des territoires ». La journée est gratuite, sur inscription uniquement, et également entièrement retransmise, en direct, sur la chaîne You tube du CHRU de Nancy.
http://colloqueia.chru-nancy.fr/index.php

Revue de presse septembre 2021

Monday, September 6, 2021 - 2:15pm

Autorisation d'une expérimentation "article 51" d'un programme de réadaptation cardiaque connectée.

Les expérimentations "article 51" visent à tester des organisations innovantes et à améliorer la pertinence des prises en charge par l'assurance maladie, rappelle-t-on.Le programme Read'hy regroupe trois centres: le centre hospitalier (CH) de Bligny à Briis-sous-Forges (Essonne), la clinique Saint-Yves de Rennes et le CH de Bastia.L'objectif est d’"offrir un programme spécialisé de réadaptation cardiaque aux patients qui n'en bénéficient pas actuellement, alors qu'ils ont fait un infarctus récemment", indique le cahier des charges annexé à l'arrêté.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5792

Médecins libéraux : les mesures numériques de l'avenant n°9.

Trois syndicats, qui sont arrivés en tête (tous collèges confondus) aux élections professionnelles, ont signé cet avenant: la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF), MG France et Avenir Spé. Parmi les objectifs de l'avenant, "engager le virage numérique autour de la médecine de ville", notamment en "accompagnant le lancement de l'espace numérique de santé (ENS), encourageant les nouveaux usages des outils numériques et en incitant les éditeurs de logiciels à développer des versions ergonomiques et interopérables", a rappelé le DG.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5795

Une nouvelle expérimentation "article 51" pour la réadaptation cardiaque à domicile.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5800

 

Ouverture en France de Sesali, le service européen de partage de synthèse médicale (ANS).

Sesali permet à "tous les professionnels de santé français disposant d'une carte de professionnel de santé [CPS]" physique ou numérique "d'accéder de manière sécurisée, normalisée et en français à la synthèse médicale" de patients d'autres pays. Sesali permet à "tous les professionnels de santé français disposant d'une carte de professionnel de santé [CPS]" physique ou numérique "d'accéder de manière sécurisée, normalisée et en français à la synthèse médicale" de patients d'autres pays. A ce jour, il permet seulement le partage de la synthèse médicale de la e-prescription.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5801

Le dossier médical partagé sera officiellement une composante de l'ENS à partir du 1er janvier 2022 (décret).

Un décret publié le 7 août au Journal officiel officialise la transformation du dossier médical partagé (DMP) en composante de l'espace numérique de santé (ENS, aussi appelé Mon espace santé) à compter du 1er janvier 2022. l harmonise les règles de fonctionnement du DMP et de l'ENS, précise les conditions de création et de fermeture du DMP, reposant désormais sur le régime de l'opt-out, énumère "la nature et le contenu des informations contenues dans le dossier, les modalités d'exercice des droits des titulaires" sur ces informations, "les conditions dans lesquelles certaines informations peuvent être rendues inaccessibles par le titulaire du dossier médical partagé, les conditions d'utilisation par les professionnels de santé ainsi que les conditions d'accès au DMP", est-il résumé dans la notice.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5804

Informatique : le portail Convergence s'enrichit de nouvelles fonctionnalités.

La feuille de route du numérique en santé invite les responsables des systèmes d'information (SI) de santé à se positionner par rapport à cette cible d'urbanisation grâce à un outil de convergence des SI et de prévoir une trajectoire de convergence à l'horizon 2024, rappelle-t-on.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5809

Le CHU d'Angers lance son application pour enregistrer les passes sanitaires des professionnels.

veloppée en interne par les équipes informatiques du CHU, l'application Mon Pass a été testée "ce week-end" (samedi 14 et dimanche 15 août) avant sa généralisation le 16 août, a fait savoir la directrice du CHU d'Angers.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5814

Ségur numérique : une instruction détaille la mise en œuvre du "financement à l'usage" des établissements de santé.

Les financements du Ségur numérique sont répartis en deux volets : un volet équipement doté de 465 millions d'euros (baptisé SONS, pour "système ouvert et non sélectif") et un volet "usage" comportant une enveloppe de 210 millions d'euros.

Le pilotage du volet relatif au financement à l'usage a été désigné "programme SUN-ES" pour "Ségur usage numérique en établissements de santé" et confié à la direction générale de l'offre de soins (DGOS), précise l'instruction. Le pilotage national du Ségur numérique est, lui, confié à la délégation au numérique en santé (DNS), rappelle-t-on.

"Le programme SUN-ES vise à poursuivre les efforts pour amener l'ensemble des établissements de santé vers un plus grand niveau de maturité de leur système d'information. Il se situe dans le prolongement du programme Hop'EN et privilégie la production et la transmission de documents de santé dans le but d'enrichir, via le dossier médical partagé (DMP) et Mon espace santé, qui sera ouvert à tout citoyen français dès le début de l'année 2022", a rappelé le ministère.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5816

Un projet d'arrêté sur les moyens d'identification électronique des personnes morales intervenant en santé.

L'arrêté adressé à Bruxelles établit les principales caractéristiques des certificats électroniques qui permettent aux personnes morales de s'identifier électroniquement aux services numériques en santé et confie à l'Agence du numérique en santé (ANS) la mission de délivrer ces certificats, via son autorité de certification dénommée "Infrastructure de gestion de clés en santé" ou IGC-Santé.

https://www.ticsante.com/story.php?story=5821

Passe sanitaire: vers une autorisation des certificats de preuve internationaux en France (décret).

https://www.ticsante.com/story.php?story=5822

Comment Google et Apple ont redéfini leurs stratégies en e-santé cet été.

https://www.ticpharma.com/story.php?story=1708

Europe – Artificial intelligence in medicine regulation.

https://www.ema.europa.eu/en/news/artificial-intelligence-medicine-regulation

Europe – Ligne directrice sur la documentation de la qualité des médicaments lorsqu'ils sont utilisés avec un dispositif médical.

.https://www.ema.europa.eu/en/documents/scientific-guideline/guideline-quality-documentation-medicinal-products-when-used-medical-device-first-version_en.pdf

Les événements E-santé à ne pas manquer : Septembre 2021.

https://buzz-esante.fr/buzz-agenda-les-evenements-e-sante-a-ne-pas-manquer-septembre-2021/

Revue de presse août 2021

Monday, August 2, 2021 - 11:15am

 

Plus de 8 Français sur 10 favorables au développement du numérique en santé (sondage Harris).
Ce sondage a été réalisé en ligne du 23 au 29 mars, auprès d'un échantillon représentatif de Français âgés de 18 ans et plus, et ajusté selon la méthode des quotas.
Parmi les sondés estimant que le numérique en santé est une "mauvaise chose", ceux qui "ont le sentiment de mal maîtriser les outils digitaux" (31%) et/ou "se sentent plutôt défavorisés concernant l’accès aux soins (31%) ou aux technologies (36%)" sont les plus représentés.
Inversement, les sondés qui "ont le sentiment de bien maîtriser les outils digitaux" y sont favorables à 89%, tout comme ceux qui "se sentent plutôt favorisés concernant l’accès aux soins (90%) ou aux technologies (91%)".
La moitié (49%) estime qu'à l'avenir, les personnes "ne maîtrisant pas suffisamment bien les outils numériques" seront "moins bien soignées".
Enfin, 69% des répondants ont indiqué être "certainement" ou "probablement" prêts à envisager de partager leurs données de santé "pour faire progresser la recherche".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5757

Csis 2021 : 650 millions d'euros pour le "défi prioritaire" de la santé numérique.
La stratégie se décompose en 5 axes prioritaires :
Favoriser les conditions de la réussite d'un déploiement à grand échelle
Accompagner la mise en œuvre d'expérimentations en vie réelle et la conduite de premières étapes industrielles
Soutenir la maturation des projets structurants et renforcer l'avantage stratégique (données, intelligence artificielle (IA), cybersécurité…)
Préparer la future génération des technologies clés en santé numérique et faciliter le transfert rapide des résultats de recherche
Développer la formation, la confiance des acteurs et l'attractivité professionnelle du secteur.
Pour accompagner la mise en œuvre opérationnelle de sa stratégie "Innovation santé 2030", Emmanuel Macron a confirmé la création d'une "agence de l'innovation santé".
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1673

Levées de fonds dans l'e-santé : le record de 2020 déjà battu en 2021.
Plus de 14,7 milliards de dollars (Md$) ont été levés par des entreprises de l'e-santé aux Etats-Unis au premier semestre 2021, contre 14,6 Md$ pendant toute l'année 2020, selon une analyse du fonds d'investissements spécialisé dans le secteur Rock Health. Plus de la moitié de cette somme (59%) vient de 48 "méga-transactions", qui ont permis de lever plus de 100 millions de dollars, quand 2020 en a connu seulement 44. La moyenne des fonds levés augmente également, passant de 20 millions de dollars (M$) en 2019 à 32 M$ en 2020, puis près de 40M$ au premier semestre 2021. Si les montants explosent, "les investisseurs ne bouleversent pas leurs stratégies", a noté Rock Health. La santé mentale reste l'aire thérapeutique la plus financée depuis 2018, suivie par les maladies cardio-vasculaires et le diabète, qui sont dans le top 5 depuis 2018. La R&D, les soins de santé à la demande, et la forme et le bien-être sont les domaines qui attirent le plus les investisseurs, tout comme les 3 années précédentes. Seul changement d'importance noté par Rock Health, les fonds levés par des sociétés ayant un modèle économique "direct-to-consumer" continuent d'augmenter, à 27% du total contre 22% en 2020 et 18% en 2019. C'est la proportion la plus importante enregistrée par Rock Health en 10 ans, a souligné la société. Elle s'est félicitée de ces records et a relevé que "l'environnement actuel présente autant d'opportunités que de risques". Elle a toutefois invité investisseurs et entrepreneurs à garder la tête froide, pour éviter d'être "pris au dépourvu une fois que la santé numérique se sera installée dans une nouvelle phase de financement".

— LÉO CARAVAGNA

Comment l'ANSM et le Health Data Hub s'organisent pour faciliter l'accès aux données sur les produits de santé.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1682

Télésurveillance : Withings et Implicity nouent une collaboration dans l'insuffisance cardiaque.
Pour rappel, l'article 54 de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2018 a reconduit le programme Etapes pour une durée de quatre ans (2018-2022). Ces expérimentations portent sur cinq pathologies : l'insuffisance cardiaque, l'insuffisance rénale, l'insuffisance respiratoire, le diabète et les prothèses cardiaques implantables.
Les inclusions de patients ont débuté au printemps 2018. Fin 2020, le ministère des solidarités et de la santé reportait près de 85.000 patients télésurveillés dans ce cadre, dont près de 70.000 patients porteurs d'une prothèse cardiaque implantable.
A quelques mois de la fin de l'expérimentation Etapes, le ministère planche sur la définition d'un modèle de financement de droit commun pour la télésurveillance.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1677

Retard pour la nouvelle version de la base « Transparence Santé ».
La Cour des comptes a déploré un contrôle "très hétérogène" et "défaillant" des relations entre médecins et industrie du médicament par le Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom) en dépit de sa "fermeté affichée publiquement" en la matière, dans un rapport publié fin 2019.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1676

AWS looks to digital health with new accelerator
The new accelerator will offer 10 startups a chance to participate in a four-week training and mentorship program.
https://www.mobihealthnews.com/news/aws-looks-digital-health-new-accelerator

La fondation de la Mutuelle Générale, a annoncé le 2 juillet avoir commandé à MADoPA (living lab spécialisé en santé et en autonomie) "une cartographie des applications mobiles existantes dédiées à l'autonomie des personnes atteintes de maladies neurodégénératives", pour les aider et aiguiller leurs proches aidants. Cette étude a passé au crible 548 applications disponibles sur le Play Store (Android) en octobre 2019. Un outil d'évaluation de toutes les applications mobiles de ce type "est en cours d'élaboration et sera disponible sur demande en novembre prochain", a fait savoir la fondation.
https://www.lamutuellegenerale.fr/sites/www.lamutuellegenerale.fr/files/2021/06/30/Communiqu%C3%A9%20de%20presse%20Fondation%20de%20La%20Mutuelle%20G%C3%A9n%C3%A9rale_30.06.2021.pdf

Création d'un traitement de données relatif aux autotests de dépistage du Covid-19 (décret).
Ce traitement de données "a pour finalité le recueil des résultats des autotests de dépistage de la Covid-19 dans un système autonome, afin de produire des résultats agrégés destinés au suivi épidémiologique et à l'analyse statistique des administrations et organismes intervenant dans la gestion de l'épidémie", prévoit le texte.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5763

Un décret encadre l'échange de données de santé issues du DMP entre la France et des Etats de l'UE.
Cet accord est établi sur le fondement de l'article 14 de la directive 2011/24/UE du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2011 relative à l'application des droits des patients en matière de soins de santé transfrontaliers. L'article 14, relatif à la santé en ligne, appelle à élaborer "une liste non exhaustive de données à faire figurer dans le dossier des patients et pouvant être partagées par les professionnels de la santé pour permettre la continuité des soins et promouvoir la sécurité des patients par-delà les frontières".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5771

La SFSD émet 10 préconisations pour la pratique du télésoin.
La Société française de santé digitale (SFSD) a publié fin juin un livre blanc consacré au télésoin, dans lequel elle émet 10 préconisations "pour mener à bien son projet de télésoin".
https://www.ticsante.com/story/5781/la-sfsd-emet-10%C2%A0preconisations-pour-la-pratique-du-telesoin.html
Livre blanc en PDF https://www.ehpadia.fr/attachment/2174285/

Médicament : la collecte de données de vie réelle renforcée par la réforme de l'accès précoce.
La mise en place obligatoire d'un protocole d'utilisation thérapeutique et de recueil des données de suivi des patients (PUT-RD), avec une collecte financée par les industriels, fait partie des grandes nouveautés de la réforme des dispositifs d'autorisations et de recommandations temporaires d'utilisation (ATU/RTU) entrée en vigueur le 1er juillet, et doit favoriser un recueil de données en vie réelle "recentré sur des variables essentielles", selon la Haute autorité de santé (HAS).
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1688

Accès au marché, études cliniques, financements : une enquête pointe les difficultés des start-ups d’e-santé.
Des difficultés pour la mise en place d'études clinique dans 96% des cas. "La mise en place d'une étude clinique est un point critique pour les répondants concernés", avec 96% qui éprouvent une difficulté, et dont 71% d'entre eux la considèrent élevée ou bloquante.
La réalisation d'études de marché auprès des professionnels de santé est plus préoccupante (32% de difficultés bloquantes ou élevées) que celles auprès des patients (22%) jugent les sociétés.
Autre complexité relevée par cette enquête, l'accès à certaines informations, notamment "à des datas chiffrées pour affiner [leur] stratégie" (54% de difficultés élevées ou bloquantes), "identifier et surveiller les signaux faibles" (30%) et "être informé quand une information réglementaire" les concernant est publiée (24%).
Du côté du recrutement, environ un tiers des entreprises a mentionné des difficultés à trouver des profils qualifiés à des postes de commerciaux (36% de difficultés bloquantes ou élevées), médico-scientifiques (32%), technique (29%) ou avec de l'expérience en e-santé (30%).
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1684

Données de vie réelle : un potentiel reconnu pour l'évaluation des produits de santé, des biais en embuscade (Afcros).
Les données de vie réelle sont très importantes pour l'évaluation des DM, a expliqué Frédérique Debroucker, directrice du service économie de la santé et remboursement de Medtronic France. "Pour le DM, l'essai clinique randomisé ne va pas toujours de soi. Le DM n'a pas toujours d'effet pharmacologique, il n'est généralement pas possible de faire d'études en double aveugle, et les patients sont "souvent de toutes petites populations". De plus, les DM sont "améliorés en continu" et développés de manière itérative et non linéaire, ce qui "a des conséquences sur les effets et les usages". Les DM sont également "utilisateur-dépendant", ce qui rend les données de vie réelle "indispensables". Elles doivent être "utilisées à toutes les phases d'évaluation et tout au long de l'évolution du DM ».
Les données collectées pendant les phases d'accès précoce au marché "sont souvent les premières données de vie réelle collectées en Europe, voire dans le monde", a souligné le Dr Jérémie Rudant, responsable de données de vie réelle de Pfizer France. Dans le cadre d'essais cliniques classiques, le suivi des patients s'arrête à la fin de l'essai, d'où l'importance des données de vie réelle par la suite, a-t-il ajouté, déplorant notamment un manque de suivi de la survie après la fin des essais.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1683

Le référentiel fonctionnel de télémédecine devient le référentiel fonctionnel de télésanté.
Le concept de télésanté englobe à présent la télémédecine et ses cinq actes (téléconsultation, télé-expertise, télésurveillance, téléassistance, réponse médicale dans le cadre de la régulation médicale), et le télé soin.
La nouvelle version du référentiel fonctionnel de télésanté intègre les éléments suivants :
Ajout du référentiel fonctionnel de télésoin, coconstruit avec les professionnels de santé et les éditeurs et mis en concertation publique du 9 juin au 9 juillet ; Alignement des référentiels fonctionnels téléconsultation et télé-expertise au décret publié le 4 juin.
Il s'agit d'un alignement avec la feuille de route en matière d'urbanisation, d'interopérabilité et de sécurité des systèmes d'information.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5774

Périnatalité : vers un nouveau dossier médical partagé intégrant la sécurité psychique des femmes.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5778

La FDA a autorisé Dexcom à afficher les données collectées par ses appareils sur les montres connectées Apple et Garmin, ce qui permettra aux patients de suivre leur glycémie sur les montres, a fait savoir la société spécialisée dans le suivi du diabète le 15 juillet.
https://www.accessdata.fda.gov/scripts/cdrh/cfdocs/cfpma/pma.cfm?id=P120005S041

Les HCL s'associent à l'Inria pour la création d'un pôle de développement en IA en santé.
Hébergeurs de données de santé depuis 2011, avec un agrément autorisant la gestion de données pour des tiers, les HCL ont développé de nombreuses actions autour du dossier patient et de la production de bases de données. En 2018, l'établissement lyonnais s'est doté d’une "commission intelligence artificielle" (CIA), dont l'objectif est de mettre en relation les résultats de la recherche autour de l'IA, avec les besoins des unités de soins. Les HCL viennent de créer une direction transversale de l’innovation, dont l'une des ambitions est de voir apparaître un "living lab" dans le domaine de la santé.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5784

Orange et l'université Grenoble-Alpes créent un laboratoire commun à dominante santé numérique.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1696

 

Revue de presse Juin 2021

Thursday, July 1, 2021 - 9:45am

 

Revue de Presse Juin 2021

La DNS ébauche la procédure de référencement au catalogue de l'Espace numérique de santé.
Action n°16 de la feuille de route pour le numérique en santé, "Mon espace santé" s'articulera autour de quatre "briques » : le dossier médical partagé (DMP), l'agenda de santé, la messagerie sécurisée et le catalogue d'applications. Il sera généralisé à partir du 1er janvier 2022.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5708

La HAS présente son "ambitieuse" stratégie données.
Le premier axe porte sur "les données produites par la HAS, leur usage, la culture de l'usage et les compétences".
"La HAS a un patrimoine de données de très riche et un outillage hétéroclite, ce qui entraîne une sous-valorisation des données dommageable", a constaté Pierre-Alain Jachiet. L'idée est de "valoriser les connaissances produites par nos systèmes d'information [SI], par exemple en analysant les certifications d'établissements, pour piloter ce travail". Cette montée en compétences sur l'utilisation des données est "un socle pour faire ce travail d'analyse de données à l'extérieur" de la HAS.
Le deuxième axe, "central", concerne les données de vie réelle, c'est-à-dire les données de santé observationnelles et pas celles issues de la recherche clinique. "Nous avons à notre disposition une importante panoplie de données, dont celles du Système national des données de santé [SNDS] et d'établissements de santé. Quel impact peuvent-elles avoir dans notre organisation ? Quels usages peut-on faire ?"
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1646

Dispositifs médicaux : la Cnedimts va clarifier ses attentes sur les "évolutions incrémentales".
https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2021-04/evaluation_des_evolutions_incrementales_des_dispositifs_medicaux_par_la_cnedimts_-_note_de_cadrage.pdf
Document de travail - 24 mars 2021

Programme ESMS numérique : publication de la répartition régionale des 24 millions d'euros de la phase d'amorçage.
La répartition par région des 24 millions d'euros (M€) de crédits de la phase d'amorçage du programme ESMS numérique a été publiée au Journal officiel le 26 mai. Ce fonds d'amorçage, annoncé fin 2020 à 30 M€, a pour ambition première de déployer le dossier usager informatisé (DUI).
https://www.ticsante.com/story.php?story=5714

L'ANS soumet le référentiel Pro Santé Connect à concertation.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5715

Le CLCC Gustave-Roussy et Maincare ont développé une plateforme de gestion des seconds avis médicaux en ligne.
"Près de 50.000 patients dont une part croissante de patients internationaux sollicitent l'expertise" du CLCC francilien chaque année. "C'est pour leur permettre un accès simplifié et sécurisé à cette expertise que Gustave-Roussy a fait appel à Maincare". La plateforme, accessible depuis le site internet de Gustave-Roussy, "permet aux patients internationaux de solliciter l'avis médical [des] experts en français et en anglais […] en toute autonomie".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5717

Covid-19 : les modalités de mise en œuvre du passe sanitaire détaillées par décret.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5722

Grâce au travail sur les données de santé, la qualité de vie peut devenir un vrai indicateur.
https://www.innovasso.fr/dossier/grace-au-travail-sur-les-donnees-de-sante-la-qualite-de-vie-peut-devenir-un-vrai-indicateur/?utm_source=newsletter_mensuelle&utm_medium=email&utm_campaign=2021juin_newsletter

Numérique en santé mentale : le CCOMS préconise de développer un outil pour référencer les dispositifs existants.
Numérique en santé mentale: le CCOMS préconise de développer un outil pour référencer les dispositifs existants

Vivatech : l'AP-HP et cinq entreprises imaginent "l'hôpital numérique" via leur projet "@HôtelDieu".
Ce projet est porté par "une alliance d'acteurs complémentaires" composée des entreprises Implicity, Lifen, Nabla, Nouveal, Withing, de l'incubateur Biolabs, de l’Université de Paris et l’AP-HP, avec sa plateforme d’accompagnement des projets numériques en santé. Le consortium s'est formé au "début avril", lorsqu'ensemble, les partenaires ont répondu à l'appel à manifestation d'intérêt (AMI) "Santé numérique", lancé par la Banque publique d'investissements Bpifrance. L'AMI "Santé numérique" vise à favoriser l’émergence en France de solutions innovantes "armées de propositions de valeurs médico-économiques pour conquérir le marché de l'e-santé".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5732

Boehringer Ingelheim taps into Lifebit's AI for global disease surveillance.
Boehringer Ingelheim a annoncé un partenariat avec la société spécialisée dans l'analyse du texte Lifebit, qui ambitionne de développer un service capable de surveiller les publications scientifiques et de nombreuses autres sources pour de la surveillance épidémiologique.
https://www.fiercebiotech.com/medtech/boehringer-ingelheim-taps-into-lifebit-s-ai-for-global-disease-surveillance

Covid-19 et modélisation : Dassault Systèmes soigne ses activités en santé.
Dassault Systèmes, filiale de l'industriel de l'aéronautique spécialisée dans les logiciels pour la conception 3D, a déboursé 5,8 milliards de dollars au deuxième semestre 2019 pour acquérir Medidata, société d'édition de solutions "cloud" pour les essais cliniques.
Les solutions de Medidata ont été utilisées dans le cadre des essais cliniques du vaccin mRNA-1273 de Moderna, notamment en phase III avec 30.000 patients participants.
Medidata et Friends of Cancer Research ont ainsi démontré dans deux publications, en 2018 et 2019, que les contrôles synthétiques peuvent accélérer la recherche clinique.
https://www.ticpharma.com/story/1560/

Ségur numérique : un nouveau dispositif de financement pour les éditeurs de logiciels (DNS).
Les accords du Ségur, signés en juillet 2020, prévoient notamment 2 milliards d’euros pour le numérique en santé, avec plusieurs objectifs : "donner un coup d'accélérateur pour rattraper le retard dans la modernisation", "l'interopérabilité", "la réversibilité", "la convergence et la sécurité des systèmes d'information (SI) en santé" et mise en œuvre de la feuille de route du numérique en santé annoncée en avril 2019, rappelle-t-on.
Ces financements seront répartis en deux volets : un volet équipement à destination des éditeurs, et un volet usage à destination des utilisateurs. Ils prévoient des mesures incitatives (financement pour les éditeurs et les utilisateurs) et coercitives (opposabilité pour les éditeurs, obligations de partage des données pour les établissements et professionnels de santé), a expliqué la DNS lors du CNS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5743

Le volet numérique du Ségur de la santé confié à Olivier Clatz.
Olivier Clatz était précédemment directeur du Grand défi IA et santé, au secrétariat général pour l'investissement (SGI), rattaché à Matignon. Il a cofondé et dirigé de 2013 à 2019 la société Therapixel, qui met au point des algorithmes de détection des cancers.
Diplômé de l'Ecole normale supérieure (ENS) Paris-Saclay et titulaire d'un doctorat en informatique de l'Ecole des mines de Paris, Olivier Clatz a également été membre du Conseil national du numérique (CNNum) de 2018 et à 2020. Il a notamment travaillé à l'Inria et la Harvard Medical School, selon son profil LinkedIn.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5744

Le Catel lance une "marketplace" de l'e-santé pour les professionnels du secteur.
Le Catel, centre de ressources et d'expertises en e-santé, a présenté le 24 juin sa plateforme "Les Docks de la e-santé", une "marketplace B2B" (business to business), destinée à tous les acteurs de santé et "qui permet d'acheter ou d'être mis en relation avec des structures proposant des services numériques".
https://www.ticsante.com/story.php?story=5745

Informatique hospitalière : le futur référentiel Maturin-H "a l'ambition de réduire la complexité" (DGOS).
Maturin-H a "3 grands objectifs", a expliqué Michel Raux:
"élaborer un référentiel de maturité numérique" des établissements de santé
"disposer d'outils d'évaluation" de cette maturité
"mettre en place des contrôles effectifs"
Concernant son aspect référentiel, Maturin embarque des référentiels déjà existants :
Hop'EN
la certification hébergeur de données de santé (HDS)
les exigences du Ségur numérique
la directive européenne NIS (Network and Information Security) qui régit les opérateurs de services essentiels (OSE)
l'Electronic medical record adoption model (Emram) de l'organisation américaine Healthcare Information and Management Systems Society (HIMSS) qui mesure la maturité des acteurs de santé vis-à-vis de l’adoption du dossier médical informatisé
les travaux d'éthique du numérique en santé en cours au ministère.
Concernant la sécurité des SI, il s'agira par exemple "de la protection des réseaux et SI, de la sécurité de l'architecture ou du cloisonnement des SI", a illustré le représentant de la DGOS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5749

Health Technology Assessment: Informal deal between Council and European Parliament.
Les nouvelles règles prévoient la coopération des États membres au niveau de l'UE sur des évaluations cliniques conjointes et des consultations scientifiques conjointes sur les technologies de la santé. Ce travail conjoint fournira des informations scientifiques précieuses aux autorités sanitaires nationales lorsqu'elles prendront des décisions sur la tarification et le remboursement d'une technologie de santé.
https://www.ris.world/europe-health-technology-assessment-informal-deal-between-council-and-european-parliament/

Mon logiciel est-il un dispositif médical en vertu du règlement européen ?
Entré en vigueur le 26 mai dernier, le RDM conserve des zones d’ombre. C’est le cas pour ce qui concerne les exigences en matière de qualification d’un logiciel. Frédéric Barbot, coordinateur scientifique au CIC-IT de Garches, se propose d’éclairer notre lanterne à l’aide du guide MDCG 2019-11.
Par Frédéric Barbot, Praticien Hospitalier, Inserm CIC 1429, hôpital Raymond Poincaré APHP, Garches. Tech4Health. Réseau d’expertises F-Crin.
https://www.devicemed.fr/dossiers/reglementation/mon-logiciel-est-il-un-dispositif-medical-en-vertu-du-reglement-europeen/27626

Efelya : un compagnon digital pour les femmes enceintes.
https://buzz-esante.fr/efelya-un-compagnon-digital-pour-les-femmes-enceintes/

Le think tank Renaissance Numérique s’est intéressé au monde de la santé et dévoile des préconisations pour mettre
les citoyens au cœur de la gouvernance des données de santé.
https://mail.google.com/mail/u/0/?tab=rm&ogbl#search/buzz/FMfcgzGkXwMSRDFzhvTxkqtRqFnwRKsql

Revue de presse Mai 2021

Thursday, June 3, 2021 - 10:30am

 

Covid-19 : Vivalto Santé et Simango ont créé une formation en réalité virtuelle d'auxiliaires en réanimation.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5673

Jean-Marie Dunand rejoint Tessi en tant que directeur de l'activité santé.
Fin avril, le groupement d'intérêt économique (GIE) Sesam-Vitale a retenu la solution de Tessi et de son partenaire Electronic IDentification pour l’enrôlement de son application carte Vitale.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5671

Marc Perotto (Widdup): "Dirigeants d'établissements sociaux et médico-sociaux, reprenez le pouvoir sur votre informatique!".
Les pouvoirs publics ont pris conscience de l’enjeu en mettant en place le plan Ma santé 2022 adopté en 2019 qui se décline en "Plan ESMS numérique" pour le secteur social et médico-social. Complété en 2020 dans le cadre du Ségur de la santé, il représente 600 millions d’euros qui vont permettre aux établissements de revoir leur socle numérique (hébergement, réseau, sécurité, maintenance) et de se doter d'un DUI. Il reste cependant à faire entrer le numérique dans les formations diplômantes, dans les formations financées par les opérateurs de compétences (Opco) du métier, dans les fonctions et les grilles de salaire adaptées des conventions collectives concernées.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5676

Cela fait déjà plusieurs années que certains géants de la high-tech implémentent des solutions de santé dans leurs appareils.
Pour nombre d'entre eux, la montre connectée est une plateforme de choix. C'est bien évidemment le cas d'Apple et de sa célèbre Apple Watch. Les journaux The Telegraph et Forbes ont ainsi révélé que la firme de Cupertino est le principal client d'une société nommée Rockley Photonics. Cette dernière se spécialise dans les technologies de santé et a indiqué à la SEC (gendarme financier étasunien) avoir signé un contrat avec Apple afin de développer de nouveaux produits.
Rockley Photonics est connu pour son expertise concernant les capteurs de suivi, notamment ceux permettant de vérifier le taux de sucre dans le sang, la pression artérielle et même le niveau d'alcoolémie. Le document laisserait entendre que l'entreprise californienne pourrait implémenter une de ces technologies dans sa future montre connectée.
https://www.lesnumeriques.com/montre-connectee/sante-l-apple-watch-pourrait-bientot-detecter-le-taux-de-sucre-dans-le-sang-et-aider-les-diabetiques-n163421.html

L'insurtech Alan défend sa vision holistique de la santé.
Surtout, elle veut devenir une « super app » avec une vision "holistique de la santé", comme aime la rêver son PDG, Jean-Charles Samuelian, qui détaille le projet : toujours centrée sur le remboursement des frais de santé en moins d'une heure, elle va développer des services comme la "conciergerie médicale", une sorte de tchat entre les médecins et les membres. L'application va proposer des informations personnalisées en fonction des conditions de santé, de la prévoyance et se pencher sur la santé mentale. Un des enjeux de cette année pour ce fils de deux psychiatres. La concurrence pléthorique des applications de santé ne le fait pas ciller. « Nous regardons surtout ce qui se fait dans d'autres industries pour nous en inspirer : l'utilisation de la voix dans Clubhouse, l'algorithme personnalisé de TikTok, confie-t-il. La créativité pour moi, c'est récupérer une idée et faire un pas de côté."
Le traitement des données des utilisateurs pour proposer des services personnalisés sera un pilier de la différenciation. Le discret directeur technique d'Alan, Charles Gorintin, est un ex-data scientist de Facebook, de Twitter et d'Instagram. « Mais nous ne les utiliserons jamais pour affiner la tarification de l'assurance, assure Jean-Charles Samuelian. Notre business model est basé sur un pacte de confiance.»
https://www.challenges.fr/entreprise/alan-defend-sa-vision-holistique-de-la-sante_762619

Withings updates Body Cardio smart scale to predict users’ vascular age
When a person’s vascular age is determined to be significantly older than their chronological age, it can be an indicator of possible cardiovascular health issues.
https://www.mobihealthnews.com/news/withings-updates-body-cardio-smart-scale-predict-users-vascular-age

La start-up iSlit veut améliorer les diagnostics ophtalmologiques grâce à l'intelligence artificielle.
L’un des fondateurs de la start-up iSlit, ophtalmologue, rêvait d’automatiser les examens de l’œil avec une lampe à fente. C’est désormais chose faite, avec le soutien du laboratoire CIAD de l’université de Bourgogne, à travers le dispositif iSlit Médical.
"Un diagnostic repose sur un raisonnement scientifique basé sur des signes, des symptômes et des facteurs de risque." Christophe Tricot divise ainsi le rôle de l’intelligence artificielle dans l’automatisation des examens ophtalmologiques en trois axes. Un module de deep learning et de vision par ordinateur réalise l’extraction des signes pour que la lampe à fente reconnaisse toute seule, par exemple, une lésion sur l’œil. Une technique de traitement automatique du langage (NLP) va analyser les symptômes et accompagner le praticien pour poser les bonnes questions aux patients. Enfin, une programmation logique permet d’aboutir à un raisonnement automatisé que le professionnel de l’ophtalmologie va valider ou refuser, contribuant ainsi à l’apprentissage du module. "L’IA va faire un lien entre les symptômes et les signes et balayer toutes les pathologies, même les cas rares, en s’appuyant sur l’expertise des ophtalmologues qui partagent leurs connaissances en réseau." Une vingtaine de praticiens, en France, en Inde ou en Israël, contribuent à enrichir la base de données.
https://www.usine-digitale.fr/article/la-start-up-islit-veut-ameliorer-les-diagnostics-ophtalmologiques-grace-a-l-intelligence-artificielle.N1088699

Ségur : l'ANS informe les éditeurs sur l'éligibilité de leurs solutions numériques aux financements.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5684

Philips poursuit le recentrage en santé de ses activités.
En avril 2018, Philips a installé à Suresnes (Hauts-de-Seine) un centre d’expertise mondiale en IA dédié à l'imagerie médicale, à la génomique et à l'écosystème des start-up French Tech en IA. Il regroupe aujourd'hui 50 chercheurs et ingénieurs, détient plus de 100 brevets et revendique 200 publications. Le centre a un focus clinique en cardiologie, oncologie et maladies rares. En outre, Philips compte aussi sur ces données pour "alimenter la recherche".
Un partenariat scientifique et d'innovation en santé visant notamment à améliorer la prise en charge de l'accident vasculaire cérébral (AVC) et la surveillance "intelligente" en réanimation grâce à l'exploitation des données de santé a notamment été signé avec le CHU de Rennes en janvier dernier. "La nouvelle frontière, c'est l'intégration de l'IA dans de plus en plus de nos équipements pour aider à un meilleur diagnostic. Ce virage informatique et algorithmique est aujourd'hui notre quotidien et le meilleur reste à venir", a déclaré le président de Philips France.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1624

Le Fonds FHF et SimForHealth s'allient pour promouvoir la simulation numérique dans la formation des hospitaliers.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5685

La Cnil accompagne 12 projets innovants dans la santé numérique, dont 3 d'établissements.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5694

Collecte de données par Iqvia: la Cnil annonce des contrôles après une enquête de France 2.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1627

Dispositifs médicaux : le nouveau règlement européen entre en vigueur mais pose encore des questions.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1634

Oncodesign présente sa stratégie dans l'intelligence artificielle.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1638

FDA updates guidance on covariate treatment in clinical trials.
Dans un guide révisé, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a clarifié la manière dont les développeurs de médicaments devraient s'adapter aux covariables dans certains essais cliniques. La révision fournit «des recommandations plus détaillées pour l'utilisation de modèles linéaires pour l'ajustement des covariables et comprend également des recommandations pour l'ajustement des covariables à l'aide de modèles non linéaires», selon l' avis du Federal Register de la FDA concernant le projet récemment révisé.
https://www.raps.org/news-and-articles/news-articles/2021/5/fda-updates-guidance-on-covariate-treatment-in-cli?feed=Regulatory-Focus
Draft FDA guidance
https://www.fda.gov/media/148910/download

Strategic lifecycle approach to medical device regulation.
https://www.raps.org/news-and-articles/news-articles/2021/5/strategic-lifecycle-approach-to-medical-device-reg?feed=Regulatory-Focus


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Revue de presse Avril 2021

Tuesday, May 4, 2021 - 10:45am

 

Revue de presse Avril 2021

L'ANS veut guider les entrepreneurs du numérique en santé vers l'industrie du médicament.
L'ANS a proposé au Leem de créer un document "expliquant ce que veut dire travailler avec l'industrie du médicament" et énumérant notamment "les questions que doivent se poser les entrepreneurs avant de se lancer".
"Les aires thérapeutiques et/ou technologiques de mon projet sont-elles alignées avec celles du laboratoire ? Suis-je prêt à intégrer un industriel au capital de ma société ? Comment seront valorisés les résultats du projet à travers des publications et comment seront partagés les éléments de propriété intellectuelle ? Suis-je prêt à accorder l’exclusivité partenariale à un laboratoire sur toute la durée de l’accompagnement, dans un ou plusieurs pays ?"
La page indique les différents types de programmes d’accompagnement proposés par les entreprises du médicament, en recense quelques exemples dont ceux d'AstraZeneca, Roche, Pfizer, Sanofi, Novartis et Janssen (groupe Johnson & Johnson, J&J), et donne des conseils pour préparer une candidature.
Elle apporte également "des clés de réflexion" sur leur modèle économique aux porteurs de projet.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1580

Renouvellement de la commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé : Appel à candidatures - mandat 2021/2024.
Compétences recherchées : Afin de renouveler sa composition, la CNEDiMTS recherche des professionnels dans tous les domaines, sans oublier des spécialités parfois moins présentes (dermatologue, généraliste, gériatre, gynécologue, interniste, médecine physique et réadaptation, ophtalmologue, ORL, urologue…).
Le numérique étant désormais omniprésent dans les technologies évaluées, l’HAS souhaite recruter également des experts spécialistes du numérique ou impliqués dans le champ de la e-santé.
Les patients disposent d’un savoir spécifique sur leur maladie du fait de leur expérience sur le vécu de la maladie, les traitements existants, les parcours de soins, les besoins. Aussi la CNEDiMTS se réjouit de compter parmi elle des représentants de patients. La CNEDIMTS recherche donc des adhérents d’association de malades et d’usagers du système de santé prêts à s’impliquer dans ses travaux et enrichir ainsi son évaluation.
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3245536/fr/renouvellement-de-la-commission-nationale-d-evaluation-des-dispositifs-medicaux-et-des-technologies-de-sante-appel-a-candidatures-mandat-2021/2024#toc_1_1_3

Le GIE Sesam-Vitale détaille la feuille de route de l'application carte Vitale.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5630

Health Data Hub: Stéphanie Combes fait le point sur les projets de recherche.
Le Health Data Hub a mis 12 ingénieurs à disposition des porteurs de projets, notamment pour aider à préparer les données, mais aimerait en recruter "4 ou 5" supplémentaires, a indiqué Stéphanie Combes. La durée maximale de mise à disposition est d'un an. Les ingénieurs peuvent s'occuper de plusieurs projets simultanément, et "vont dans les équipes" 4 jours par semaine, le dernier jour étant consacré au Hub.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1591

Données de santé: l'ATIH lance un appel à manifestation d'intérêt.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5637

L'AP-HP et Imageens s'allient pour structurer et valoriser les données d'imagerie médicale.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5643

MediReport et Withings s'allient pour améliorer le suivi des patients après une chirurgie cardiaque.
Fondée en 1995 par deux cardiologues interventionnels (Serge Makowski et Fabrice Beverelli), MediReport développe des logiciels médicaux de suivi cardiovasculaire pour les hôpitaux, dont CardioReport, son système d'information cardiovasculaire, interfacé avec l'environnement hospitalier pour la collecte de données à l'hôpital. La société commercialise ses logiciels médicaux "dans plus de 40 pays dans le monde et dans plus de 450 centres hospitaliers publics et privés", a indiqué le Dr Makowski à TICpharma fin mars.
Créée en 2008, Withings avait été cédée au groupe finlandais Nokia en 2016. Rachetée en 2018 par l'un de ses trois cofondateurs, Eric Careel, l’entreprise, spécialisée dans le développement d’objets connectés pour le bien-être des particuliers, a pris le virage de la santé dès son retour sous le pavillon France. Lancée en octobre 2019, sa division "B to B" (business to business) et ses solutions Withings Med Pro Data et Withings Med Pro Care adressées aux professionnels de santé, ont confirmé cette ambition. Ces deux divisions étaient d'ailleurs destinées à améliorer le suivi à distance des patients grâce à l'utilisation des produits de l'écosystème Withings et à l'analyse des données collectées, directement au sein de l'environnement du partenaire.
Dans l'étude menée par MediReport et Withings, les données des bracelets connectés Withings Go sont justement recueillies par l'application de suivi patient CardioReport, créée par MediReport.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1594

Si les associations sont tout à fait légitimes pour recueillir des données de santé pour améliorer la qualité de vie, il n’en reste pas moins qu’il faut savoir comment s’y prendre.
La session dédiée lors de la journée Innov’Asso avait précisément pour but de donner des clés et des conseils pratiques pour aider les associations et leurs membres à produire de nouvelles données. Ont également été évoquées la méthode à décliner et les différentes étapes à suivre.
https://www.innovasso.fr/dossier/comment-sy-prendre-pour-produire-des-donnees-ou-analyser-des-donnees-deja-existantes/

Plus de 300.000 e-prescriptions délivrées en 19 mois.
Les syndicats de professionnels de santé et l'assurance maladie se sont accordés le 26 février "pour une extension de l'e-prescription aux professionnels équipés des deux logiciels opérationnels", Crossway de Cegedim pour les médecins et LGPI de Pharmagest pour les pharmaciens.
L'expérimentation est "techniquement" possible avec 4 autres logiciels : AxiSanté 5 de CompuGroup et HelloDoc d'Imagine Editions pour les médecins ; Alliance+ FES de SmartRX (groupe Cegedim) et WinPharma d'Everys pour les pharmaciens.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5645

ENS: publication "à l'automne" de l'arrêté définissant les critères de référencement au store d'applications.
Action n°16 de la feuille de route pour le numérique en santé, l'ENS, qui sera baptisé "Mon espace santé", doit permettre à l'usager d'accéder à ses données administratives, à son dossier médical partagé (DMP), à ses constantes de santé éventuellement produites par des applications ou objets connectés référencés, à ses données de remboursement, et à des outils permettant des échanges sécurisés avec les acteurs du système de santé, rappelle-t-on.
Un décret, pris en application de la loi du 24 juillet 2019, dite "Ma santé 2022", va rendre possible l'ouverture automatique de l'ENS à partir du 1er juin 2021, sauf refus de la personne, qui pourra s'y opposer dans un délai d'un mois.
Pour tenir les délais annoncés et généraliser l'ENS au 1er janvier 2022, les pouvoirs publics ont invité les acteurs privés à prendre part aux travaux et cela, dès la réalisation de ce service, dont le marché a été attribué à Atos et à Octo Technology fin décembre 2020.
Composante majeure de l'ENS, le catalogue d'applications ou "store" est très attendu. Il regroupera les applications mobiles ou de sites web référencés sur la base d’une procédure définie par la puissance publique.
Afin de tester le processus de référencement et de coconstruire avec les pouvoirs publics la connexion au store de l’ENS, 30 industriels ont été retenus en février, à l'issue d'un appel à projets lancé par le ministère.
Un arrêté publié au Journal officiel "à l'automne" viendra justement préciser ces critères de référencement et dévoilera la composition de la "commission de référencement des services et outils numériques", chargée d'instruire les demandes de référencement, a indiqué le responsable de la DNS. Toujours dans le cadre de la démarche inclusive voulue par les pouvoirs publics, un "comité de surveillance citoyen" va être installé pour "suivre et accompagner les évolutions de l'ENS", a annoncé Dominique Pon. Sa composition et ses modalités seront précisées "avant l'été".
Par ailleurs, une "phase pilote" de l'ENS aura lieu dans les départements de Loire-Atlantique, Haute-Garonne et Somme à partir du 1er juillet, a appris TICsanté mi-mars. Seuls le DMP et la messagerie sécurisée de santé (MSsanté) seront disponibles pour cette expérimentation, qui concernera 4 millions d'usagers.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5649Wassinia.Zirar@apmnews.com

Bpifrance muscle son dispositif "santé numérique".
Les six lauréats de cette première mouture sont :
Cayceo: la start-up développe une solution d'hypnose médicale en réalité virtuelle pour la réduction du niveau d'anxiété et de douleur des patients
Health For People: qui conçoit un assistant santé utilisant la connaissance médicale digitalisée pour automatiser la gestion de parcours de soins complexes, polypathologiques, en accompagnant le patient et dans le but de faciliter le travail des professionnels de santé
Kiro: la jeune pousse édite une plateforme logicielle qui met à disposition des patients et des professionnels de santé un outil de communication des résultats de biologie médicale et fournit une aide au diagnostic et à la prise en charge réalisée à partir d'algorithmes d'intelligence artificielle (IA) validés médicalement
Ludocare: la société a mis au point des thérapies numériques (un robot connecté et une application parentale) qui accompagnent les enfants atteints de maladie chronique dans la bonne prise de leur traitement
Medicalib, qui développe une plateforme de mise en relation entre professionnels de santé libéraux (infirmiers, sages-femmes et kinésithérapeutes) et patients pour l’organisation et la coordination de soins à domicile et en entreprise
Sêmeia: la start-up propose une suite logicielle de suivi des patients en mode Saas (Software as a service) pour analyser en temps réel des données patient et identifier l'intervention la plus adaptée.
"J'ai été étonné de voir la maturité de ces jeunes, brillants et ambitieux entrepreneurs dans la réflexion qu'ils ont de problèmes soumis, qui sont nés dans les mains de personnes qui ne les comprennent pas eux-mêmes", a salué le 15 avril Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes et parrain de cette première promotion.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1604

Plan Healthtech: trois axes de travail pour faire émerger des champions français de la tech en santé.
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1599

Télémédecine: un quart des opérateurs contrôlés par la DGCCRF présentaient des anomalies.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5658

Santé, autonomie et accès aux droits: la Drees lance un appel à projets de recherche sur les usages des technologies.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5664

Les ARS et Grades désormais intégrés à la gouvernance de l'ANS.
https://www.ticsante.com/story.php?story=5663

Essais cliniques: le portail et la base de données européens sont "pleinement fonctionnels" (EMA).
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1608

CSF: le groupe de travail "usage des données de santé en vie réelle" formule ses recommandations.
Le groupe de travail "usage des données de santé en vie réelle" du CSF est piloté par Anne Josseran (Resmed), représentante du syndicat national de l'industrie des technologies médicales (Snitem), Laurie Lévy-Bachelot (MSD) et Luca Mollo (Pfizer), tous deux représentants de l'Ariis.
Il a pour ambition "de créer les conditions permettant à l'ensemble des acteurs de l'écosystème de santé de générer, à partir de données en vie réelle, des résultats pouvant soutenir la prise de décision et ainsi contribuer à une véritable transformation du système de santé".
https://www.ticpharma.com/story.php?story=1606